OM

(victoire du CSP contre saint etienne, qui remonte à la 6eme place, fred forte a insister sur le fait que l'objectif est la montée en pro A

ouai je voulais savoir ca donne quoi cousin comme coach? il est responsable de l'echec de l'elan?

ouai à quimper c'est beau ce qu'il a fait! on verra mais pourquoi pas, en tout cas il a choisit le bon camp

orthez a écrit :

pAuletA99 a écrit :

ouai à quimper c'est beau ce qu'il a fait! on verra mais pourquoi pas, en tout cas il a choisit le bon camp

ou pas.
En tout cas si il réussit à les remonter, il sera un dieu à Limoges. 

quand on s'appel limoges on ne se satisfait pas d'une montée en pro a (palmares oblige)
désolé.

mais bon couler pau et remonter limoges ca serait bien en effet!

wait and see, mais le souffle nouveau de cousin va faire du bien ca c'est certain

orthez a écrit :

pAuletA99 a écrit :

wait and see, mais le souffle nouveau de cousin va faire du bien ca c'est certain

Va falloir penser à gagner à l'exterieur. 

jte le fais pas dire 
allez bonne aprem jerem

LES PLUS GRANDS JOUEURS DU CSP:

    Richard DACOURY
De 1978 à 1996, ailier
L'icône absolue du cSp, son visage. Une star dans la ville. Dix huit saisons. D'abord comme "Dac", fougueux voltigeur et brillant attaquant, puis comme "Flying Papy" défenseur d'enfer, catalyseur de l'énergie de Beaublanc. Huit titres, quatre coupes d'Europe. La première star du basket français.        
Apollo FAYE
De 1977 à 1985, pivot
Légendaire. Comme ses 41 rebonds supposés contre Orthez. Né Sérigné Faye, ses décollages verticaux lui ont valu ce surnom indélébile. Un monstre physique de 2m08, pointure 51. 28,5 points en 1978. L'idole des gosses d'alors. Boudeur,facétieux, hableur, prince des nuits limougeaudes. Maître de la Korac.
    Ed MURPHY
De 1981 à 1985, arrière
Le scoreur ultime, insatiable et incontrôlable. Un shoot en bascule, haut derrière la tête, absolument incontrôlable. 40 points contre le Dynamo Moscou en demi-finale de Korac, 16/17 aux tirs contre le champion d'Europe Cantù, 24 points en une mi-temps de finale de Korac. Trois fois MVP. Trois fois champion.        
Jean-Michel SENEGAL
De 1982 à 1986, meneur
Associé pour toujours, avec Murphy, Dacoury et Faye, aux années Korac. Une gueule, une crinière blonde qui volait au vent, des passes de feu en série vers la fusée Dacoury, une défense d'enfer sur le môme Petrovic en finale, un missile au buzzer contre le Maccabi. C'est Ségalo !
    Clarence KEA
De 1986 à 1988, pivot
Une poutre. Petit pivot (2m) mais maousse costaud. Cet ancien boxeur, américain bonne pâte, voix de faussé, était un gargantua. Meilleur rebondeur en CBA, en France et en Espagne ! Une première saison d'enfer (17,5 pts à 70,6% et 12 rebonds !) puis le triplé en 1988 pour le charismatique Mister Kea !        
Gregor BEUGNOT
De 1986 à 1989, meneur
Le charisme, la confiance, la fougue. "Bégor" était en parfaite harmonie avec le cSp de l'époque. L'un des chouchous de Beaublanc. Le doigt pointé vers le tableau d'affichage après un panier à trois-points à la Moutète (salle d'Orthez NDLR). Une interception décisive en prolongation de la finale de Coupe des coupes en 1988.
    Jacques MONCLAR
De 1986 à 1988, meneur
L'autre moitié des "Montclot-Beugnar", la mythique paire qui essorait les meneurs adverses. Leader par nature. Une figure à Limoges. Le dernier panier de la finale de la Coupe des coupes 88 puis une course à reculons, bras levés. Une finale surprise, comme coach avec le cSp en 1998.        
Don COLLINS
De 1987 à 1991, ailier
Certains en font le numéro 1 de l'histoire du cSp. Gueule burinée, séquelles de la drogue qui détruisit sa carrière NBA, le "Cobra", 63 points en CBA, est le meilleur joueur de un contre un de tous les temps en Pro A. Trois fois MVP. Une anguille à 25 points et 60%. Trois titres, la Coupe des coupes, le final-four.
    Valery DEMORY
De 1988 à 1991, meneur
"L'ami" de Beaublanc... avant de passer chez l'ennemi palois avec pertes et fracas, le nordiste était le meneur de la première équipe française à atteindre le Final-Four, en 1990. Un patron, à l'époque titulaire en équipe de France. Meilleur passeur de l'histoire de la Pro A. Remplacé par Frédéric Forté.        
Stéphane OSTROWSKI
De 1985 à 1992, ailier fort
Un nom longtemps indissociable de celui de Dacoury et de Limoges. Gracile mais surdoué, il arrivait pour remplacer Apollo Faye. Au cSp il valait un super ricain. Quatre fois MVP, un panier décisif en finale de la Coupe des coupes et un départ un peu tristounet, fin de cycle, un an avant le sacre de 1993.
    Michael BROOKS
De 1988 à 92, ailier-fort
Goggles, cuissards colorés, bandana, walkman à l'échauffement, Brooks le fêtard était LE ricain flamboyant. Star universitaire, capitaine de l'équipe US pour les JO boycottés de Moscou, carrière NBA gachée par une blessure, Brooks parfois intenable a assuré 20 points et 10 rebonds pendant quatre ans. Deux fois MVP. Deux titres, un Final-Four.         Frédéric FORTE
1988-89, puis de 91 à 97, meneur
Une image pour tout dire : le ballon chipé au meilleur joueur d'Europe au meilleur moment de la meilleure des coupes d'Europe (notre photo). Ni rapide ni athlétique mais parfait technicien, "Le cerveau" est un joueur et un homme intelligent. Depuis l'été 2004 le sauveur du club, le président. Depuis 2007 1er présidentraineur de France.
    Hugues OCCANSEY
De 1983 à 88, puis 95 à 98, ailier
Espoir magique, si facile, il gambadait à seize ans avec les pros à Beaublanc. Epanoui à Antibes, il est revenu par la grande porte. Auteur d'un match d'anthologie pour la belle des demi-finales à l'Astroballe : 31 points et 9 rebonds. Coach du CSP ELITE de 2004 à 2006.         Jurij ZDOVC
1992-1993, meneur
Une seule saison pour Jurij l'ascète, le moine soldat. Mais parfaite. Champion d'Europe, champion de France. Une goinfrerie contre Le Mans. Mais parfaite : 8/8 à trois points. Un tir à trois secondes de la fin pour aller au Final-Four. Parfait. Deux lancers pour gagner l'Euroleague. Parfaits.
    Michael YOUNG
De 1992 à 1995, ailier
Le bras armé de la loi Maljkovic. Un gaucher au shoot magique, pris très au dessus de la tête, dans toutes les positions. L'assassin silencieux. L'homme du titre de 1993. Homme à abattre, il pesait plus de 20 points en Euroleague. 47 points contre Treviso en 94. Des séries monstrueuses. La classe absolue.         Jim BILBA
De 1992 à 1996, ailier fort
Fantastique défenseur, dunkeur, contreur, Bilba le taiseux a éteint les meilleurs intérieurs d'Europe pendant quatre ans. Deux Final-Four, quinze points et huit rebonds contre Treviso en finale. Révélé par Maljkovic, le successeur de Stéphane Ostrowski s'est mis Limoges dans la poche en quelques semaines.
    Marcus BROWN
1999-2000, arrière
L'étoile filante. Quelques semaines au cSp, l'amour de la ville pour toujours. Charismatique, souriant, brillant, clutch. Un panier au buzzer à Strasboug. Un autre à Pau. 31 points en finale aller de Korac. Des shoots venus d'ailleurs. Il a débarqué dans une équipe de guingois et a raflé le triplé magique.        
Harper WILLIAMS
1999-2000, ailier fort
Avec Marcus Brown, l'autre moitié de l'une des meilleures paires US de l'histoire de la Pro A. Petit intérieur gaucher, penché et grimaçant, rebondeur malin, terreur au shoot. MVP officieux des playoffs (17,8 points à 56% et 7,4 rbds), héros de la belle de la finale à l'Astroballe (21 pts, 9 rbds).


    Frédéric WEIS
De 1995 à 2000, pivot
L'enfant du cSp. Grand gamin souriant arrivé en 1995, import from INSEP, en pleurs lors de l'éprouvante et émouvante saison 1999-2000. Dans le cocon limougeaud, et un Beaublanc indulgent, le grand lorrain a livré ses meilleures années (13,4 pts et 7,3 rbds en 98-99) et quelques petits bijoux de matches.    
    Yann BONATO
De 1995 à 97, puis 99-00 et 03-04, ailier
Le symbole du club, époque post-Dacoury. Funambule désarticulé, Yann "la liane", devenu "Capitaine Flam", a fait trois passages au cSp. Un record. D'abord comme scoreur exclusif, quelques cartons à 40 pts, puis comme leader. L'homme du triplé 2000. Une aura folle à Limoges.


    David THEVENON
De 2004 à 2007, meneur/arrière
L'homme de la reconstruction. Arrivé pendant l'été du chaos : un CSP en amateur, plus personne... en quelques semaines David a donné une raison d'être au mot Elite que l'on a accolé aux trois lettres magiques. Ce n'est pas le meilleur arrière qui ait évolué à Beaublanc mais c'est à coup sûr un des plus gros coeurs vus sur ce parquet. Un cercliste, un vrai !        
    André BUFFIERE
De 1980 à 1983
Coupe Korac 82 et 83, Coupe de la Fédération 82 et 83, Champion de France 83
L'homme qui a professionnalisé le basket limougeaud et les jeunes chiens qui le composaient. C'est lui qui à force de remontrances et de coups de gueule a amené les premiers titres et crédibilisé le CSP à l'échelon national.         Pierre DAO
De 1983 à 1986
Coupe de la Fédération 85, Champion de France 84 et 85
Le tacticien, le rusé, limite joueur de poker. Passionné des méthodes américaines et de nouvelles voies pour le basket héxagonal (sélectionneur national) il instaurera le basket-spectacle... le showtime made in Beaublanc !
    Michel GOMEZ
De 1986 à 1990 puis 1997-98
Coupe des coupes (Europe) 88, Tournoi des As 88 et 89, Champion de France 88, 89 et 90, Final-Four 90
"Zemog" le verlan de Gomez, copyright Monclar. Le psychologue qui a su gérer un effectif composé de "caractères". Le tout baigné dans un basket léché qui plaît aux joueurs et qui donne des résultats... de grands résultats : suprématie nationale (triplé en 88) et premier Final-Four pour une équipe française.         Dusko IVANOVIC
1999-2000
Coupe Korac 2000, Coupe de France 2000, Champion de France 2000
Le remplaçant de luxe de la saison 92-93 est devenu un coach empreint de succès. Il arrive de Suisse où il a laissé son empreinte. Et au sein d'un club en pleine tourmente financière, il conduit son groupe main dans la main avec son capitaine Flam, et lui donne les clés tactiques pour réaliser l'improbable : le triplé historique. Sans doute la saison la plus chargée d'émotion d'un club rebaptisé Confiance Solidarité Passion.
    Bozidar MALJKOVIC
De 1991 à 1996
Euroleague 93, Coupe de France 94 et 95, Champion de France 93 et 94, Final-Four 95
Le sorcier. Il maltraite ses joueurs, leur inflige une discipline et un programme digne d'un bagne. il n'est pas contesté : pour contester il faut respirer et ils ne peuvent plus. Il impose SA vision du jeu : "pour gagner il faut encaisser un panier de moins que l'adversaire". Et ça marche. Adieu le showtime, bonjour les scores de minime. Les plus grands d'Europe quittent le parquet de Beaublanc en ayant à peine effleuré les filets. Les meilleurs attaquants du moment se casssent les dents sur la ligne maginot édifiée par le stratège serbe. Saison 92-93, Limoges concède une seule défaite en championnat : à Pau et de justesse... le reste ? formalités ! Ses intérieurs font 1m98, ses meneurs 2m. Il réapprend le basket au vieux Dac. Sous son ère la défense a pris un sens, et le public limougeaud a pris une des plus belle leçon de basket de tous les temps. On ne se lève plus pour un dunk (ils sont interdits sous peine de banc) mais pour un 24 secondes (NDLR 30 à l'époque). LE plus grand incontestablement.

Dernière modification par pAuletA99 (23-Dec-07 10:50)

orthez a écrit :

C'est pas bien de vivre dans le passé. 

c'est vrai, faut que t'arretes d'etre pour l'om alors . (moi pour paris c'est vrai).
non mais c'etait pour t'instruire un peu j'espere que tu as tout lu!

orthez a écrit :

Chambres pas trop côté football.     

J'ai juste lu les noms. 

lis tout et tu comprendra la dif entre l'elan et et le CSP

J'ai tout lu.      

C'était vraiment la belle époque, Orthez et Limoges au sommet...