OM

tu es sur ton² que c'est josé anigo qui est visé par dioufy quand il parle des deux voix ?

Il ne faut pas qu'il y ait deux voix dans un club, deux sources de responsabilités.

d'autant que si on suit l'actualité des vestiaires de l'om, il y a certainement le discours de DD mais aussi celui de labrune :
https://www.footmarseille.com/news-16378 … ueurs.html
et je n'ai pas entendu anigo avoir un commentaire discordant de DD ces derniers temps.
ce qui me fait dire ça, c'est que je me souviens qu'en une seule occasion, gerets et diouf s'étaient disputés, c'était justement lorsque le dirigeant s'était cru bon engueuler les joueurs sans l'aval de gerets.
gerets était revenu dessus en disant que c'était le seul nuage de deux ans de collaboration idyllique, nuage qui s'était estompé dans la soirée autour d'un bon café, l'entraineur reprochant au président de marcher sur ses plates-bandes.

balo a écrit :

Sur les dernières interviews que j'ai entendu de Diouf,il avait l'air de toujours remettre en cause Labrune.

lu ca tout a l'heure, il a l'air content que son taf soit maintenant mieux compris
http://www.foot01.com/equipe/marseille/ … aves,78733

Parti il y a deux ans de l’Olympique de Marseille, Pape Diouf n’a jamais voulu attaquant frontalement Vincent Labrune, bras droit de Robert Louis-Dreyfus et depuis devenu président de l’Olympique de Marseille. Les deux hommes s’évitaient sagement et l’ancien patron de l’OM avoue même, dans le Parisien, qu’ils se sont parlés récemment et de manière plutôt courtoise.

« Il avait souhaité renouer avec moi lors de la remise du Ballon d’or à Zurich, en janvier dernier. On s’était trouvé l’un face à l’autre. C’était une manière de se défier, cette période est passée. Il m’a encore appelé récemment pour me dire : « Pape, très franchement, nous avons été injustes quand nous t’avons reproché une masse salariale trop importante. Au contraire, tu en avais une maîtrise parfaite. » Qu’il l’ait reconnu et souligne ma gestion aujourd’hui, cela l’honore et permet de rétablir les choses, explique Pape Diouf, beaucoup plus rapide à évoquer le cas José Anigo, lequel avait menacé de partie en cas de limogeage de Diouf, avant de changer d’avis. Je n’ai pas de relation particulière avec lui. Les circonstances ont fait qu’il mène sa vie,et moi la mienne. Il n’y a rien à dire là-dessus.»

Dernière modification par saki (17-Oct-11 18:07)

"Je constate que Deschamps, à qui on veut faire porter le chapeau, a permis au club de gagner des titres ces deux dernières saisons. Il faut, à vouloir déterminer des responsabilités, approfondir cette recherche et ne pas la limiter à Deschamps." @ Diouf

Je crois beaucoup ici feraient bien de méditer là dessus au lieu de systématiquement vouloir faire de DD le seul et l'unique responsable de la situation actuelle.

Diouf a déja été DS à l'OM. Si Labrune le nommait à la place d'Anigo, ce serait un trés bon coup. 

yEzan a écrit :

Et pour revenir sur l'histoire du départ de Diouf, il faudrait dire de temps en temps que c'est Pape lui meme qui a demandé à José de rester apres son départ

"Avec Pape, on ne s'est pas parlé depuis pas mal de temps. Il a pas mal de choses à faire. Peut-être aussi qu'au fond de son coeur, il n'a pas apprécié que je sois resté."@Anigo en 2010 c'est qui le mytho, toi ou lui? 

edit:

Avez-vous renoué le contact avec José Anigo ?
Je n’ai pas de relation particulière avec lui. Les circonstances ont fait qu’il mène sa
vie,et moi la mienne. Il n’y a rien à dire là-dessus.

Vachement proches en effet.

Dernière modification par Ultra for ever (17-Oct-11 20:27)

Ces derniers mois, il a couru le monde, enchaîné les conférences dans les plus grandes institutions, décliné une offre d’un club espagnol (Malaga) et même rencontré au passage Luc Besson pour un projet de reprise du Paris Football Club par le cinéaste. A bientôt 60 ans, Pape Diouf, président de l’OM de 2005 à 2009, n’a pas sombré dans l’inactivité et reste un témoin privilégié pour parler d’un club qu’il continue d’adorer.

Que pensez-vous de la situation de l’OM?
PAPE DIOUF. J’ai plus souvent le rictus du supporteur mécontent que le sourire du supporteur épanoui. Mais je reste confiant, je n’exclus pas complètement que l’équipe puisse taquiner le podium en fin de saison. Cela ne m’étonnerait pas.
A qui la faute, actuellement ?
Je constate que Deschamps, à qui on veut faire porter tout le chapeau, a permis au club de gagner des titres ces deux dernières saisons. Il faut, à vouloir déterminer des responsabilités, approfondir cette recherche et ne pas la limiter à Deschamps.
Quelles sont les solutions pour traverser cette crise ?
Il n’y a pas de méthode définie, de panacée. Quand ça ne va pas, le dirigeant doit exercer plus encore son sens du discernement. Il doit multiplier les échanges dans les différentes strates du club pour arriver à toucher du doigt le début du problème, puis à envisager le début d’une solution. C’est comme ça. Pas en criant dans les
vestiaires, en insultant les uns ou les autres, non.
Pourquoi ?
Vous savez, les joueurs sont interchangeables. Ne pensez pas que le coup de gueule, même d’un actionnaire, peut avoir une conséquence directe sur leur comportement. Ils s’en fichent, demain, ils partent dans une autre équipe. Il ne faut pas qu’il y ait deux voix dans un club, deux sources de responsabilités. Les joueurs peuvent s’engouffrer là-dedans.Un footballeur qui sera critiqué par une partie trouvera du réconfort chez l’autre partie, et ça, c’est le danger.
Evoquez-vous ici une rivalité Deschamps-Anigo ?
N’étant pas aux aguets de ce qui se passe à la Commanderie, je ne veux pas déverser des propos malveillants. Mais je dis : «Voilà ce qu’il faut faire, et
éviter. »
Avec son contrat béton jusqu’en 2014,Deschamps est-il indéboulonnable ?
Je n’ai pas signé ce contrat. Très franchement, je ne sais pas.
Reformulons.Auriez-vous débarqué Albert Emon comme vous l’avez fait fin septembre 2007, si cela vous a coûté 8M€ ?
Je ne veux pas faire dans la fiction. A la limite, si je pousse le raisonnement, je
me dis : « J’atteins l’Europe en me séparant de lui, et cela me rapporte 20M€. Alors
plutôt que de le garder pour ne pas dépenser 7 ou 8 M€…» Pour Albert Emon, j’avais la conviction qu’il fallait remplacer l’entraîneur. J’avais la chance aussi d’avoir sur le marché un coach qui était exactement l’homme de la situation, Eric Gerets.
Avez-vous renoué le contact avec José Anigo ?
Je n’ai pas de relation particulière avec lui. Les circonstances ont fait qu’il mène sa
vie,et moi la mienne. Il n’y a rien à dire là-dessus.
Et avec Vincent Labrune ?
Il avait souhaité renouer avec moi lors de la remise du Ballon d’or à Zurich, en janvier dernier. On s’était trouvé l’un face à l’autre. C’était une manière de se défier, cette période est passée. Il m’a encore appelé récemment pour me dire : « Pape, très franchement, nous avons été injustes quand nous t’avons reproché une masse salariale trop importante. Au contraire, tu en avais une maîtrise parfaite. » Qu’il
l’ait reconnu et souligne ma gestion aujourd’hui, cela l’honore et permet de rétablir les choses.
L’OM est-il à vendre ?
Pour moi, les événements récents sont une tempête dans un verre d’eau.Le club ne me semble pas officiellement mis en vente. Quand le PSG était sur le marché, on
le savait pertinemment dans le milieu. L’expression utilisée par Margarita Louis-Dreyfus ne signifie pas : « Je vais vendre. » Maintenant, si demain des gens se
présentaient avec un projet sérieux et des moyens colossaux, je ne sais pas
quelle serait la décision de Margarita.
Mais elle apprécie peu le foot…
Robert était très football,au maximum je ne vois comment elle peut l’être plus
que lui. Après, en deux saisons, elle a été beaucoup plus souvent sur les
stades que Robert pendant ses dernières années. Elle a beaucoup de
considération pour ce club et ce que son mari a fait.
Pourriez-vous regrouper des investisseurs pour lui racheter l’OM?
Si avec vous, nous trouvons des milliardaires prêts à s’engager et que la
propriétaire veut effectivement vendre, allons-y (sourires). Non, je n’envisage
pas cette perspective, ce n’est pas dans mes projets.
On a parlé de vous à propos du Paris Football Club l’été dernier…
J’ai rencontré le cinéaste Luc Besson, qui souhaitait s’engager dans le football, notamment pour des raisons sociales. Nous avons discuté à bâtons rompus. Et c’est vrai qu’il m’a dit que s’il entrait un jour dans ce milieu, il souhaiterait vivement que ce soit avec moi. Je lui ai répondu que nous n’en étions pas là, mais que nous pouvions rester encontact.
PROPOS RECUEILLIS PAR
MATHIEU GRÉGOIRE

Gotrunk a écrit :

Diouf a déja été DS à l'OM. Si Labrune le nommait à la place d'Anigo, ce serait un trés bon coup. 

DIOUF LABRUNE ensemble sachant que c'est ce dernier qui l'a viré.

Moi j'aime pas ceux qui la ramène quand ça va pas. J'aime bien Diouf mais franchement j'aurais préféré qu'il tire la sonnette quand ça allait parce que ce qui se passe aujourd'hui est la conséquence de deux saisons où les titres ont caché notre faiblesse de jeu.

Et avec Vincent Labrune ?
Il avait souhaité renouer avec moi lors de la remise du Ballon d’or à Zurich, en janvier dernier. On s’était trouvé l’un face à l’autre. C’était une manière de se défier, cette période est passée. Il m’a encore appelé récemment pour me dire : « Pape, très franchement, nous avons été injustes quand nous t’avons reproché une masse salariale trop importante. Au contraire, tu en avais une maîtrise parfaite. » Qu’il
l’ait reconnu et souligne ma gestion aujourd’hui, cela l’honore et permet de rétablir les choses.

Quel imbécile ce Labrune on en serait pas là aujourd'hui sans sa bêtise.

Reformulons.Auriez-vous débarqué Albert Emon comme vous l’avez fait fin septembre 2007, si cela vous a coûté 8M€ ?[/b] Je ne veux pas faire dans la fiction. A la limite, si je pousse le raisonnement, je me dis : « J’atteins l’Europe en me séparant de lui, et cela me rapporte 20M€. Alors plutôt que de le garder pour ne pas dépenser 7 ou 8 M€…»

En gros, cela veut dire que DD aurait sauté si Diouf était président aujourd'hui.