OM

Pytheas83bm a écrit :

venizian a écrit :

Lorenzoboc a écrit :

Plus tu es pourri, plus tu progresses dans ce monde.

C'est ce que je me dis, c'est incroyable et le mec a 81 balais il a pas autre chose à foutre ?

ce qui me surprend le plus, c'est surtout comment font ceux qui sont appelés à voter pourquoi l'ont-ils fait en sa faveur ?

Surement un petit arrangement entre amis !

Pytheas83bm a écrit :

venizian a écrit :

Pytheas83bm a écrit :

ce qui me surprend le plus, c'est surtout comment font ceux qui sont appelés à voter pourquoi l'ont-ils fait en sa faveur ?

Surement un petit arrangement entre amis !

sans doute oui, je pense surtout que tout le monde bénéficiait de ses petits privilèges, voitures de fonction, hôtels de luxe pour les réunions avec repas arrosés, voyages en avion  et notes de frais, et que ça les arrangeait bien que rien ne bouge.

Exactement !

Pytheas83bm a écrit :

venizian a écrit :

Pytheas83bm a écrit :

sans doute oui, je pense surtout que tout le monde bénéficiait de ses petits privilèges, voitures de fonction, hôtels de luxe pour les réunions avec repas arrosés, voyages en avion  et notes de frais, et que ça les arrangeait bien que rien ne bouge.

Exactement !

quand on a un chef qui n'est pas trop regardant sur ce qui se fait à droite et à gauche, voire aime participer aux bringues, on le garde

Tu m’étonnes !

Après tu le gardes aussi si il te touche le zizi et t’envoies des sms salasses ?

yassa13 a écrit :

cela a du négocier du style :" on le vire mais tu le prends , merci Gianni et vive le qatar et vive la france"

Le président de la Fédération internationale de football (Fifa) Gianni Infantino va rencontrer le président de la République Emmanuel Macron mercredi 15 février, a appris lundi 13 février la Direction des sports de Radio France auprès de sources proches du dossier.

Gianni Infantino va évoquer avec Emmanuel Macron la situation de Noël Le Graët, mis en retrait depuis le 11 janvier de ses fonctions de président de la Fédération française de football (FFF). Selon nos informations, le président de la Fifa veut plaider en faveur de Noël Le Graët et mettre en garde l'Etat français contre toute ingérence de sa part dans les affaires de la FFF

Alors rien que pour ça, je lâcherais la bride à la justice mais quelque chose de bien. "C'est pas moi, c'est le méchant procureur de la république.

De toutes les façons, vous avez bien vu où Vincent Laburne a atterri après avoir démoli notre club.

vlad

https://liquipe.fr/une-du-26-fevrier-2023/

Dernière modification par yassa13 (28-Feb-23 21:50)

https://www.lequipe.fr/Football/Article … ne/1383328

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Noël Le Graët, qui a démissionné ce mardi de son poste de président de la Fédération française de football, considère que l'audit qui a conduit à son départ a été mené à charge.

« Dans quel état d'esprit êtes-vous ?

J'ai passé un moment émouvant ce matin (mardi) avec le Comex. Je l'appréhendais parce que cela fait douze ans que je suis président. C'est une longue histoire, avec beaucoup de dossiers, de combats, des succès, des échecs, avec une Fédération que j'adore. J'étais très triste au mois de janvier. Cela s'est arrangé depuis et je suis content d'avoir pu discuter avec les membres du Comex.

Comment le Comex s'est-il déroulé ?

J'ai pris la parole en premier...

Et vous avez tout de suite annoncé que vous démissionniez ?

Non, j'ai employé le verbe « quitter », car je n'aime pas « démissionner ». Je les ai remerciés pour tout le travail que nous avons réalisé ensemble. Après, il y a eu un dialogue où chacun a pu intervenir. J'ai été touché par des discours émouvants... De Jean-Michel (Aulas), Marc (Keller), Hélène (Schrub), Laura (Georges), Pascal (Parent)... Certains étaient très émus. Cela m'a même étonné, dans le bon sens du terme, et touché que certains versent une petite larme. Le Comex ne m'a pas lâché, comme j'ai pu le lire. De toute façon, il n'en avait pas le pouvoir. Ni de me garder ni de me mettre dehors, ce n'est pas son rôle. Et ce n'était pas mon rôle non plus quand j'étais un simple membre du Conseil fédéral. Je suis très heureux d'avoir travaillé avec eux. On a passé des années assez exceptionnelles. Je n'en veux à personne.

Vraiment ?

Oui. Être rancunier par rapport à l'un ou à l'autre pour deux ou trois déclarations, non. Être rancunier contre certains qui ont pu profiter d'un petit moment de gloire médiatique... Vraiment, non merci.

Étiez-vous ému ?

Il ne pouvait pas ne pas y avoir de l'émotion pour moi. Vous vous rendez compte que cela fait douze ans que je consacre une grande partie de ma vie à la Fédération... Quand j'ai franchi la porte de la Fédération ce (mardi) matin, j'ai pensé que c'était mon dernier matin, ici, dans cette maison que j'aime. Mais je me sentais bien, je me suis dit que je ne devais pas montrer trop d'émotion.

Qu'allez-vous faire désormais ?

Déjà, je suis bien dans ma peau. Ma femme va bien, mes filles aussi, mes petits-enfants vont tous bien. Mes affaires dans l'agroalimentaire se portent très bien. Je vais... (il cherche ses mots) Je vais contester le rapport, déjà. Mes avocats vont le faire par toutes les voies juridiques qui leur sont offertes. Ils vont contester l'irrégularité de l'enquête administrative au sein de la Fédération et demanderont l'annulation du rapport de la mission d'enquête. Je vais aussi continuer à m'occuper du bureau de la FIFA à Paris. J'ai vu Gianni (Infantino) hier (lundi) à Paris et il m'en confie la responsabilité. Je suis attaché au développement du football en Afrique. Et, bien évidemment, si le président ou quelqu'un de la Fédération a besoin de renseignements sur un dossier, je suis vraiment à disposition.

Avez-vous l'intention d'attaquer la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra ?

Ce sont mes avocats qui vont se charger de choisir quelles actions il faut mener (*). Je conteste le rapport et elle en fait évidemment partie. L'enquête dont j'ai fait l'objet a été menée à charge, en méconnaissance totale de mes droits et du principe du contradictoire. Elle a été juge et partie et ça, ce n'est pas possible, même si elle prétend que non.

(*) Son avocat a confirmé à France 5 ce mardi qu'il allait demander en justice « l'annulation » du rapport d'audit diligenté par la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, qu'il compte « poursuivre en diffamation ».

Pensez-vous qu'elle en ait fait une affaire personnelle ?

Peut-être. Elle m'a appelé hier matin (lundi) en me disant qu'elle souhaitait que l'on parle. Je lui ai dit : "Bonjour Madame la Ministre, plus tard, s'il vous plaît". Et j'ai raccroché. L'après-midi, j'ai eu longuement le président (Emmanuel) Macron.

Êtes-vous satisfait que ce soit Philippe Diallo qui vous succède, au moins dans un premier temps ?

Ce sont les textes, puisqu'il est vice-président. Quand je l'ai recruté, il avait quitté l'UCPF (l'ancien syndicat des clubs professionnels). Il connaît bien les règlements. Je le lui ai dit et même écrit que j'étais à sa disposition pour l'aider s'il a besoin.

Que pensez-vous des accusations que Florence Hardouin, votre ancienne directrice générale, a portées contre vous ?

On ne s'est pas revu depuis la Coupe du monde, où je l'avais invitée. Le temps qu'elle était là, elle dînait avec ma femme et moi. J'ai eu beaucoup de plaisir à travailler avec elle. Elle me doit beaucoup, je l'ai formée, je lui ai appris la comptabilité, les négociations de contrat. J'ai du mal à comprendre sa méchanceté actuelle. Mais ça lui passera.

Elle vous accuse de harcèlement.

Mon petit doigt n'a jamais touché le sien. Je lui ai sauvé sa place à plusieurs reprises. En 2019, quand 14 directeurs sur 17 ou 18 demandaient son départ, puis une seconde fois après le rapport d'audit de Plein Sens que j'avais commandé. Je l'ai protégée car elle se faisait démolir. Et avant la dernière Coupe du monde au Qatar, le comex souhaitait son départ.

Pour certains salariés de la Fédération ou des observateurs, vos problèmes sont nés après la Coupe du monde 2018, quand vous avez été malade et moins présent à la Fédération. Êtes-vous d'accord avec cela ?

Le fait que je sois malade a pu jouer. Elle (Hardouin) en a profité pour prendre quelques libertés, en effet. Mais on ne peut pas tout jeter non plus. Il y a eu du bien et du mal. Et ce qui m'a sauvé de la maladie, c'est d'avoir continué à travailler... Mais c'est vrai que j'ai été davantage absent et que je ne voyais pas tout ce qui se passait.

Vous attendiez-vous à un tel scénario ?

D'ordinaire, je suis assez intuitif, mais là je ne l'ai pas vu venir le coup, les coups. J'ai été naïf, ce truc m'a dépassé. Je n'avais jamais pris d'avocat avant, dans toute ma carrière, ni même déposé une plainte et aucune ne l'avait été contre moi non plus. D'ailleurs, je vous rappelle tout de même qu'à ce jour, il n'y a aucune plainte contre moi, en tout cas à ma connaissance.

Il y a quand même une enquête ouverte par le Parquet de Paris pour harcèlement moral et sexuel, et le rapport du ministère des Sports qui pointe un comportement inapproprié de votre part envers les femmes.

Je le conteste totalement et je ne me présenterais pas devant vous si je mentais. Je n'ai jamais harcelé personne, ni moralement ni sexuellement. Je suis surpris par toute cette cabale. Je ne sais pas qui est derrière, mais je finirai par le savoir. Je n'ai rien fait de mal et j'attends de voir les suites avec mes avocats.

Il y a tout de même des éléments dans le rapport des inspecteurs du ministère.

C'est une enquête à charge. Il y a écrit « Madame C... dit que », mais qui est Madame C... ? On a demandé avec mes avocats, à plusieurs reprises, des précisions aux inspecteurs pour que je puisse répondre à ces accusations, ils ont toujours refusé de nous transmettre des éléments du dossier pour que je puisse me défendre. Je peux vous dire que je suis très bien vu à la Fédération, par beaucoup de salariées. Après tout ce que j'ai fait pour le développement du football féminin ? Après avoir contribué comme je l'ai fait à nommer des femmes à des postes clés, au sein du comex, à la FFF, à la LFP même ? Je suis peut-être « old school » sur certaines choses, mais personne ne m'enlèvera ce travail-là, ces progrès importants auxquels je crois et auxquels j'ai nettement contribué.

Mais vous avez pu tenir des propos déplacés, peut-être sur le ton de l'humour pour vous, qui ne sont plus acceptés aujourd'hui...

J'ai 81 ans, je suis peut-être en décalage dans ma manière de m'exprimer avec un jeune d'une vingtaine d'années. Cela ne fait pas de moi une mauvaise personne.

Que répondez-vous aux accusations d'alcoolisme qui figurent aussi dans le rapport ?

Cela m'arrive, avec mes amis ou mes collaborateurs, notamment quand une équipe de France gagne ou que j'ai pu signer un gros contrat à la FFF. Et alors ? Je connais beaucoup d'hommes et de femmes qui boivent du champagne...

Le tourbillon qui vous a emporté se joue en deux temps : vos propos sur Zinédine Zidane à RMC le 8 janvier, puis l'interview de Sonia Souid dans nos colonnes deux jours plus tard...

Mes déclarations étaient très maladroites. Je venais de rentrer de Paris et c'était le troisième journaliste qui me posait la question sur Zidane, j'avais été aimable avec les deux premiers et avec le troisième, je ne sais même pas qui c'était (Marion Bartoli), j'étais au téléphone, j'ai craqué. C'est malin, je me mettrais des claques. Je n'aurais jamais dû dire cela. Mais je me suis tout de suite excusé.

Et concernant les accusations de Sonia Souid ?

Elle-même dit qu'il n'y a eu aucune agression. Déjà, ce n'est pas une salariée de la FFF. Il n'y a aucun rapport hiérarchique. Je l'ai invitée chez moi à Paris pour des raisons professionnelles, ça m'arrive de recevoir des collaborateurs, même des journalistes, dans cet appartement pour parler boulot, elle a accepté de venir et a pu en repartir quand elle le voulait. Je ne l'ai jamais agressée et je ne lui ai jamais envoyé de SMS à caractère sexuel. Donc, quelle est l'histoire ? Et qu'est-ce qu'elle vient faire là-dedans ? On voit bien que c'est un coup et qu'il a été monté.

Ne pensez-vous pas avoir fait le mandat de trop ?

En 2021, j'ai été réélu à plus de 73 % contre un grand personnage du football (Frédéric Thiriez), ancien président de la Ligue, avocat... Ce n'était pas n'importe qui. J'ai été réélu en rigolant, donc non. Ceux qui disent cela sont jaloux et aimeraient être à ma place, mais encore faut-il gagner.

Avez-vous des regrets ?

Non, j'ai une vie formidable. J'ai repris l'En Avant Guingamp en septième division, le club est monté en première. J'ai gagné deux Coupes de France (2009 et 2014), la Coupe du monde. Mon groupe se porte bien. Il y a 20 ans, j'avais 20 salariés, j'en ai 800 aujourd'hui. Je ne peux pas me plaindre.

Mais votre image est salie, cela ne vous chagrine pas ?

Si, et mes avocats vont s'en occuper. Je le répète, je n'ai rien fait.

Comment jugez-vous votre bilan ?

Je crois avoir fait progresser la Fédération, aussi bien sportivement qu'économiquement, au niveau de son budget global. Il y a aussi Clairefontaine. Les sommes données au foot amateur ont été portées à un niveau jamais vu avant (104 M€ cette saison, contre moins de 50 M€ en 2010-2011). La Fédération compte des partenaires solides et fidèles. Depuis 2011, la FFF a remporté 11 titres. Le football féminin a progressé comme jamais en nombre de licenciées. La formation française est aujourd'hui considérée comme l'une des meilleures du monde. Cela ne va pas si mal, même si on aime bien se plaindre de tout et de rien, parfois... Il y a eu beaucoup de bonnes choses de faites.

Que vous inspire la crise au sein de l'équipe de France féminine ?

Je ne suis plus président depuis quelques minutes. Je ne donnerai pas d'avis. Je laisse le futur président et Jean-Michel Aulas qui va prendre du poids dans ce dossier s'en occuper.

Vous êtes un soutien historique de Corinne Diacre ? Vous avez prolongé son contrat sans concerter le Comex notamment...

Ce sont les statuts qui veulent cela. Un président qui ne soutient pas son entraîneur, ce n'est pas bien. Corinne n'a pas perdu tant de matches que cela (8, en 72 rencontres). Elle ne fait pas pire en tout cas que certains hommes qui étaient là avant elle. Elle a connu trois défaites depuis la Coupe du monde (2019) où on a été éliminé par les États-Unis, dont deux lors d'une tournée qu'elle a souhaité disputer en Suède et en Allemagne avec une équipe bis. Mais elle a remporté le Tournoi de France à chaque fois, une compétition que j'ai créée et qui commence à prendre. 25 000 personnes ont assisté à la dernière édition. En revanche, elle a fait une erreur d'enlever le brassard à Wendie Renard sans la prévenir et au travers de la presse.

Et pour la prolongation de Deschamps, referiez-vous de même ? Avec la même durée de quatre ans ?

Qui n'aurait pas mis Didier après une finale de Coupe du monde perdue à une chaussure près ? Vous-même vous l'auriez choisi. Didier a dit qu'il partirait quand il le voudrait sans demander un rond, alors que ce soit deux, quatre ou six ans... Le couple que l'on a formé n'a jamais été guidé par l'argent. »

J'ai écouté ce matin une interview de cette Mme Oudéa-Castéra et lorqu'il s'est agi de parler des chasses aux hommes que sont Le Graet, Laporte et Claude Atcher, elle a acquiecé sans remords. Lorsuqo'n lui a posé la question sur Diacre, là elle l'a défendue de plein de qualificatifs bienveillants. Attention à la "chasse à l'homme" quand même (nonobstant ce qu’on leur reproche, je me méfie...)^^

Lopo Some a écrit :

Docom a écrit :

J'ai écouté ce matin une interview de cette Mme Oudéa-Castéra et lorqu'il s'est agi de parler des chasses aux hommes que sont Le Graet, Laporte et Claude Atcher, elle a acquiecé sans remords. Lorsuqo'n lui a posé la question sur Diacre, là elle l'a défendue de plein de qualificatifs bienveillants. Attention à la "chasse à l'homme" quand même (nonobstant ce qu’on leur reproche, je me méfie...)^^

Ouais ben elle a raison hein....

Mettre Le Graet , Laporte et Claude Atcher à qui on reproche des trucs qui pourraient et vont surement aller au pénal , à Diacre qui est juste une mauvaise coach.... La personne qui a mis ces personnes sur le même plan est pas honnête intelectuellement.

Quand tu grilles un stop, on te compare pas à Guy Georges.

Je me fait juste l'avocat du diable, pour l'instant Le Graet n'a pas été condamné par la justice, son avocat dit qu'il n'y a rien dans le procès verbal. Wait and see. l'affaire Mendy doit nous faire réfléchir.

zagor a écrit :

Au cas où quand même, NLG n'a pas été nommé à la FIFA hier. C'est un poste qu'il occupe de longue date.

On a eu un magnifique exemple du sérieux des journalistes encore hier.

Ah ça va alors. 

Docom a écrit :

Je me fait juste l'avocat du diable, pour l'instant Le Graet n'a pas été condamné par la justice, son avocat dit qu'il n'y a rien dans le procès verbal. Wait and see. l'affaire Mendy doit nous faire réfléchir.

ben, j'ai fait un post en ce sens hier.

il y a une telle meute de personnes, journalistes compris, qui attendent que ça de jeter les personnes, surtout publiques, en pâture sous une fausse vertu. de vrais petits robespierre derrière leurs claviers.

on verra ce qu'il y aura dans ces accusation contre le graet, mais si ça finit en que dalle, comme souvent dans ce genre de cas, ces mêmes personnes seront pas là pour s'excuser, c'est certain.

c'est tellement facile aujourd'hui de donner la parole à des ennemis de personnalités qui vont régler leur compte quand quelqu'un est en difficulté. les médias attendent que ça et y'a un public pour ça. puis, ça occupe l'espace public plutôt que de parler des vrais scandales.

sans parler de la justice qui a de plus en plus tendance à s'aligner sur la pression médiatique. cette influence médiatique sur la justice ajoutée à l'absence totale de secret de l'instruction, c'est une catastrophe pour une démocratie saine. mais comme ça alimente les médias et satisfait la plèbe avide de sensationnalisme, ça continue et ça empire même.

en plus, on doit pouvoir ne pas apprécier quelqu'un pour un aspect de sa personnalité ou sa carrière sans s'acharner sur lui quand on sait que dalle.

Le Graet représente totalement ces instances du foot où l'entre soi et le réseautage fonctionnent à bloc. c'est donc une bonne chose s'il y a du vrai renouveau derrière. un peu de vraie démocratie quoi.
pour le reste, il vaut mieux réserver ses opinions et laisser ses paniers de crabes entre eux.

que BFM délaisse le sensationnalisme à deux balles et s'explique sur l'affaire M'Barki plutôt, qui elle, passe totalement sous silence.