OM

Et après on t'explique qu'il n'y a pas le budget pour sonoriser les arbitres...

https://www.sofoot.com/breves/cvc-exige … ion-deuros

infamousjeep a écrit :

Et après on t'explique qu'il n'y a pas le budget pour sonoriser les arbitres...

https://www.sofoot.com/breves/cvc-exige … ion-deuros

Il a enfumé vraiment tout le monde, et ce petit monde n'y a vu que du feu. A ce niveau là, c'est assez exceptionnel. CVC doit vraiment se bouffer les couilles d'avoir balancé 1,5 milliards dans la LFP. Là ils en sont à négocier pour récupérer 1,5M€ soit 0,1% des 1,5 milliards investis, c'est dire si ils ont confiance au business plan du génie Laburne.

Si ça peut les inciter à revendre leurs parts et partir, ce serait vraiment la seule bonne nouvelle dans cette histoire.

Et on en sait plus sur le pourquoi il a été réélu à la quasi unanimité.

https://www.butfootballclub.fr/ligue-1/ … une-873675

Ils l'ont réélu, mais pas sans condition. Ce sera "la femme à la vertu douteuse" des présidents. Un plan social à la LFP n'est pas à exclure tout comme la revente du nouveau siège de la LFP. Du grand art; vraiment...

slash40 a écrit :

infamousjeep a écrit :

Et après on t'explique qu'il n'y a pas le budget pour sonoriser les arbitres...

https://www.sofoot.com/breves/cvc-exige … ion-deuros

Il a enfumé vraiment tout le monde, et ce petit monde n'y a vu que du feu. A ce niveau là, c'est assez exceptionnel. CVC doit vraiment se bouffer les couilles d'avoir balancé 1,5 milliards dans la LFP. Là ils en sont à négocier pour récupérer 1,5M€ soit 0,1% des 1,5 milliards investis, c'est dire si ils ont confiance au business plan du génie Laburne.

Si ça peut les inciter à revendre leurs parts et partir, ce serait vraiment la seule bonne nouvelle dans cette histoire.

Et on en sait plus sur le pourquoi il a été réélu à la quasi unanimité.

https://www.butfootballclub.fr/ligue-1/ … une-873675

Ils l'ont réélu, mais pas sans condition. Ce sera "la femme à la vertu douteuse" des présidents. Un plan social à la LFP n'est pas à exclure tout comme la revente du nouveau siège de la LFP. Du grand art; vraiment...

Le mec aura passé sa carrière à dépenser le pognon des autres...

Labrune, grand seigneur qui baisse son salaire de 30% pour le porter à ...840K par an
https://www.lemonde.fr/sport/article/20 … _3242.html

Le foot vit vraiment dans sa bulle, ou l'art de dépenser de l'argent qu'on n'a pas.

L'Équipe a écrit :

Trois matches ferme pour Benatia

Le dirigeant marseillais a été suspendu pour six rencontres, dont trois avec sursis, après sa sortie tonitruante contre Benoît Bastien, l’arbitre d’OL-OM.

ÉTIENNE MOATTI

    Réunie hier soir, la commission de discipline de la LFP a sanctionné avec fermeté, mais sans en rajouter, Medhi Benatia, le conseiller du président marseillais Pablo Longoria, qui s’en était pris à Benoît Bastien, l’arbitre d’OL-OM (2-3, le 22 septembre), coupable à ses yeux d’avoir expulsé en moins de cinq minutes Leonardo Balerdi.
    Il écope de six matches de suspension, dont trois avec sursis, pour son pétage de plombs. À la mi-temps, il avait hurlé : « Il y a faute de Lacazette au départ. Deux fautes de Balerdi et tu lui mets carton rouge. Commence à nous respecter. Ne prenez pas les gens pour des cons. » Avant de remettre ça après la rencontre au micro de DAZN, sous-entendant une cabale contre son club orchestrée par l’arbitre.

L’ex-défenseur a été auditionné en visio

Sébastien Deneux a écrit :

La commission considère que les propos tenus par Monsieur Benatia, sont d’une part, à la mi-temps du match, déplacés, et, en fin de match, blessants. Ils tendent à remettre en cause l’intégrité de Monsieur Bastien et de manière diffuse le traitement à charge supposé de son club, alors que Monsieur Benatia incarne une figure importante de l’OM. Il a donc engagé ainsi sa responsabilité pour avoir à deux reprises, au cours de la même soirée, enfreint le règlement disciplinaire et la charte de l’éthique, même s’il convient aussi de tenir compte de son casier disciplinaire vierge de toute sanction.

L’ancien défenseur du Bayern Munich n’était pas physiquement présent devant la commission de discipline, mais a été auditionné en visio-conférence. S’il le souhaite, il peut désormais contester cette décision devant la commission supérieure d’appel qui siège à la FFF, qui n’est pas réputée plus clémente. Ou se tourner directement vers le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Mais cela pourrait paraître surprenant car la sanction est plutôt mesurée.

            

Coup historique contre la FIFA et le marché : "Le système est mort"

Le cabinet d'avocats Dupont-Hissel, conseillers dans la procédure de Lass Diarra contre la FIFA, appelle à une "action collective" qui pourrait coûter des millions.

Lass Diarra (39 ans, Paris) était un footballeur plutôt petit pour les standards des milieux de terrain des grands clubs européens, mais il jouait extrêmement bien et, surtout, il s'imposait sur le terrain. Ce que Kanté a représenté plus tard était une version améliorée de Lass. Grand sur le terrain et grand dans les bureaux. L'impact du jugement en sa faveur par la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a secoué, comme rarement auparavant, l'écosystème du football. Une décision qui a renversé le marché des transferts de la FIFA tel que nous le connaissons (implanté en 2001), le déclarant incompatible avec les droits de l'Union européenne.

Le jugement est sans appel. L'article 17.2 de la FIFA viole le droit communautaire de l'Union européenne (en particulier le droit à la libre circulation des travailleurs) et oblige l'instance internationale du football, ainsi que la Fédération belge, à indemniser le milieu de terrain français (à condition que le tribunal belge suive les recommandations du Luxembourg).

Coup historique à la FIFA, qui inquiète tout le monde du football. La Cour européenne de justice affirme que, théoriquement, les joueurs ont le droit de rompre leurs contrats et de changer de club sans avoir à payer quoi que ce soit, comme n'importe quel travailleur de l'Union européenne. Un jugement qui doit d'abord être ratifié par le tribunal belge (Mons), où l'affaire a pris naissance. Toutefois, tout n'est pas allé contre Gianni Infantino, car la CJUE a également soutenu la FIFA en affirmant que son règlement sur les transferts "garantit la stabilité des compétitions et des équipes".

Que nous réserve l'avenir ?

L'avocat belge Jean-Louis Dupont, mondialement célèbre pour l'« Affaire Bosman » et qui a été chargé de conseiller Lass Diarra dans ce processus, a célébré haut et fort la décision en faveur de son client. Pour lui, il s'agit d'un coup historique contre la FIFA et contre le marché des transferts qu'elle établit et gère. "Privé de son cœur, le système est mort. La FIFA a été condamnée par la CJUE dans des termes très clairs et sévères", a déclaré le juriste.

Pour le cabinet Dupont-Hissel, la FIFA est ébranlée et le jugement permet à tous les joueurs de demander des comptes : "La mauvaise conduite de la FIFA a été établie, tout comme le principe selon lequel tous les joueurs ont subi des dommages. Le seul débat qui reste est sur le montant des indemnités". Ainsi, ils appellent à une action collective contre la FIFA pour demander des dommages et intérêts. Cela provoquerait un séisme mondial d'une ampleur incalculable. Très difficile à chiffrer en millions. Dupont insiste : "C'est le début de la modernisation de la gouvernance dans le football". Il souligne également que ce jugement donne un coup de pouce aux joueurs eux-mêmes pour qu'ils "laissent derrière eux la peur du vide et créent leurs propres conventions collectives, meilleures que l'ancien système de la FIFA".

Les joueurs peuvent-ils demander des compensations financières ? Oui, et cela pourrait coûter des millions d’euros. Le cabinet Dupont-Hissel n’est pas le seul à avoir célébré la persévérance de Lass jusqu’au bout pour obtenir justice. En effet, le jugement n’est pas seulement favorable à Lass Diarra, comme le souligne FIFPro, l’organisation la plus importante regroupant les footballeurs professionnels, mais aussi à de nombreux autres joueurs. "Ces clauses de l’article 17 du règlement de la FIFA (les points 17.4 et 17.5) sont à la base du système actuel de transferts et ont dissuadé de nombreux joueurs de résilier unilatéralement leur contrat pour chercher un nouvel emploi. La CJUE a également précisé que la carrière d’un joueur est courte et que ce système abusif peut entraîner la fin prématurée de la carrière d’un joueur. Le tribunal affirme que la réglementation actuelle ne contribue pas à la protection de leurs droits en tant que travailleurs", insiste FIFPro, qui se dit ouverte à négocier avec la FIFA et les partenaires sociaux du football.

FIFPro, à son tour, laisse également planer la possibilité d'une action collective de la part de tous les joueurs lésés. "Nous devrons examiner collectivement, avec tous nos membres, les moyens que les joueurs peuvent utiliser pour réclamer une indemnisation pour les dommages subis au cours de leurs carrières. Les règles actuelles, définies unilatéralement par la FIFA, sont depuis longtemps intenables. Les autorités sportives doivent ouvrir les yeux et cesser d'opérer de manière monopolistique", a déclaré le secrétaire général du syndicat, Stéphane Burchkalter.

Parmi les associations les plus combatives figure à nouveau l'UNFP (Union Nationale des Footballeurs Professionnels de France), qui, dans un communiqué intitulé « Lass Diarra renvoie la FIFA à ses chères études », dresse un portrait accablant de ce qui attend désormais l'organisation présidée par Gianni Infantino. "Le jugement révèle l'illégalité d'un système qui méprise le droit à la concurrence et va à l'encontre de la libre circulation des travailleurs. Il met également en lumière les abus de la FIFA, qui n'est pas, comme elle le pense, au-dessus des lois communautaires. Bien au contraire, elle doit les respecter. L'attente n'a pas été si longue compte tenu d'un jugement qui marque l'entrée du football professionnel européen, et même mondial, dans une nouvelle ère."

David Terrier, l'une des figures du syndicat français qui a soutenu Lass Diarra dans son combat, n'a aucune compassion pour la FIFA : "D'autres victimes attendent maintenant une compensation pour les dommages subis. Depuis 2001, Lass Diarra n'est que l'une des nombreuses victimes du système de transferts de la FIFA. Nous, ses représentants, serons évidemment à ses côtés pour que la victoire de Lassana soit celle du plus grand nombre de footballeurs à qui l'on a volé leurs droits...".

"La carrière d'un joueur est courte et ce système abusif mène à une fin prématurée" FIFPro

Depuis l'Angleterre, la situation est perçue avec la même gravité. "L'affaire Lass Diarra peut déboucher sur le chaos et une anarchie totale. Tout le monde est inquiet. Ce serait une moquerie de toute règle financière de la Premier League et cela ferait s'effondrer le système. Le problème ici, c'est que les règles de la FIFA n'ont pas été correctement pensées. Il est ridicule de suggérer que ce n'est pas une cause juste de rompre ton contrat si tu n'es pas payé, c'est ce qui est arrivé à Diarra avec le Lokomotiv Moscou. Peu importe où tu travailles, que tu sois laitier ou joueur de Manchester United, si tu n'es pas payé, tu devrais pouvoir partir. Si les joueurs peuvent simplement rompre leurs contrats et se déplacer à travers le monde, tout le système s'effondrera. Pas seulement les frais de transferts. Les salaires chuteront parce qu'il n'y aura pas assez d'argent en jeu. Les grands clubs accapareront les meilleurs joueurs et certains deviendront vraiment riches", explique Karren Brady, l'une des femmes les plus respectées au Royaume-Uni et vice-présidente de West Ham, dans une colonne du Sun, où elle éclaire l'affaire Lass et tire la sonnette d'alarme sur ce qui pourrait arriver.

Elle prévient qu'il y a des turbulences à venir en ajoutant : "C'est le contraire de la loi Bosman, et si quelqu'un doit s'inquiéter, je dirais que ce ne sont pas les clubs mais les joueurs. J'aimerais penser qu'en Premier League nous aurions une sorte d'accord de gentlemen pour éviter que cela n'arrive. Mais que pourrions-nous faire pour éviter que les clubs d'Italie, de France, d'Espagne ou d'Allemagne en profitent ?".

Que fera la FIFA ?

Gianni Infantino et la FIFA ont considéré le jugement comme un avertissement. "La FIFA a pris note du jugement de la CJUE concernant l'affaire impliquant le joueur Lassana Diarra. La FIFA est satisfaite que la légalité des principes clés du système de transferts ait été reconfirmée dans le jugement d'aujourd'hui. Le jugement ne remet en question que deux paragraphes de deux articles du Règlement de la FIFA sur le statut et les transferts des joueurs, que le tribunal national est maintenant invité à examiner". Ils doivent maintenant dissiper comme ils peuvent la menace qui plane sur leur système de transferts, en modifiant les deux articles en question. Leur force réside dans le fait que le système pourrait s'effondrer. De plus, il y a des championnats (moyens et petits) qui survivent grâce à la vente de footballeurs vers des marchés plus importants. Si un joueur peut partir gratuitement, tout le système s'effondrerait.

Les Ligues Européennes ont profité de l'occasion pour réclamer à nouveau à la FIFA que "l'inclusion des représentants des ligues et des syndicats de joueurs dans la gouvernance internationale du football est maintenant légalement essentielle, compte tenu du rôle collectif qu'ils jouent dans le dialogue social au niveau national". L'Association des Clubs Européens (ECA), présidée par Nasser Al Khelaifi, a été plus prudente : "Le système de transferts de football est conçu pour établir un équilibre entre les droits des joueurs à la libre circulation et la stabilité des contrats, tout en respectant les objectifs légitimes d'intégrité et de stabilité des effectifs et des compétitions. L'ECA estime que, dans l'ensemble, ce système fonctionne bien et parvient à trouver l'équilibre nécessaire. Il est essentiel que le système de transferts fournisse aux clubs moyens et petits les moyens de continuer à rivaliser à des niveaux élevés de football, notamment à ceux qui peuvent développer et former leurs joueurs avec succès".

Source : https://as.com/futbol/internacional/gol … -muerto-n/

Neal Maupay écope d’1 match de suspension ferme après son expulsion face à Angers
Aziz Mady-Mogne (coordinateur sportif OM) lui écope de 2 matchs ferme de suspension de banc de touche, vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles.

Jean-Michel Aulas souhaite rester vice-président de la Fédération française de football

INFO L'ÉQUIPE. Après avoir initialement annoncé son retrait, l'actuel numéro 2 de la FFF Jean-Michel Aulas entend finalement être sur la liste de Philippe Diallo lors des prochaines élections fédérales.

LFP a écrit :

INCIDENTS

7e journée de Ligue 1 McDonald’s : Olympique de Marseille – Angers SCO du 4 octobre 2024
Comportement de M. Pablo LONGORIA, Président de l’OM

Un match de suspension ferme de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles.

lucianoo a écrit :

chuuwah a écrit :

LFP a écrit :

INCIDENTS

7e journée de Ligue 1 McDonald’s : Olympique de Marseille – Angers SCO du 4 octobre 2024
Comportement de M. Pablo LONGORIA, Président de l’OM

Un match de suspension ferme de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles.

il avait fait quoi au juste ?

fumer un cigare en tribune