OM

Eldarion a écrit :

canaHeinze a écrit :

hatem va signer à bordeaux
je me demande si il sera la contre nous

Un globe trotteur le mec : Lyon, Marseille, Newcastle, Hull City, Nice, Paris, Rennes, Valladolid, Bordeaux.

Je ne sais pas si un joueur en activité a fait 6 clubs de sa ligue...

c'est bien il voit du pays 

et nasri il a finit par trouver un club ??

franckribery713 a écrit :

Eldarion a écrit :

canaHeinze a écrit :

hatem va signer à bordeaux
je me demande si il sera la contre nous

Un globe trotteur le mec : Lyon, Marseille, Newcastle, Hull City, Nice, Paris, Rennes, Valladolid, Bordeaux.

Je ne sais pas si un joueur en activité a fait 6 clubs de sa ligue...

Il a fait plus de clubs que de bons matchs dans sa carrière au final 

la punchline est violente

Eldarion a écrit :

canaHeinze a écrit :

et nasri il a finit par trouver un club ??

Franchement pour pas cher y'a moyen de réunir la dream team 87 :

Ben Arfa, Nasri et Menez à Bordeaux, franchement je signe tout de suite, juste pour le délire !

nasri c'est vraiment un joueur dans lequel je misais une grosse grosse carriere, quel gachis

canaHeinze a écrit :

hatem va signer à bordeaux
je me demande si il sera la contre nous

Perso je ne pense pas et espérons que non sinon il sera très motivé. 

Dernière modification par Bem (08-Oct-20 18:04)

Cap’ tain Lorik ❤️


Entretien avec Lorik Cana – « J’ai moi-même appelé l’OM pour y signer »

Ancien joueur et capitaine de l’Olympique de Marseille, Lorik Cana reste très attaché au club. Plus de 4 ans après avoir mis un terme à sa carrière, l’ancien international albanais se confie pour Le Travail de l’OMbre sur son passage à l’OM et sa carrière avec un fort accent tactique.

Lorik, que deviens-tu depuis l’Euro 2016 et la fin de ta carrière ?

Je suis rentré vivre en Albanie pour la première fois depuis mes 7 ans. Après avoir vécu dans plusieurs pays suite à ma carrière de footballeur, j’avais besoin de passer un peu plus de temps avec ma famille. Ici, j’ai pu mettre en place quelques projets dont un très important à mes yeux : la création de ma fondation Lorik Cana Five Fondation. Elle vise à faire pratiquer l’éducation physique aux jeunes enfants albanais et kosovars défavorisés.
Un retour dans le monde du football ça pourrait t’intéresser ?
J’ai eu quelques opportunités. En Albanie, j’ai passé mes diplômes d’entraineur jusqu’au niveau UEFA A ainsi que le diplôme de directeur sportif. Pour être honnête, je ne me vois pas sur le terrain en tant qu’entraîneur. Je n’ai pas cette envie. J’aimerais avoir une approche différente et me diriger vers un poste de dirigeant.

Si je te dis 27 août 2005…

OM-Ajaccio. Mon premier match au stade Vélodrome sous les couleurs de l’OM. Ce jour-là, un rêve de gamin est en train de se réaliser. Imaginez-vous, je supporte ce club et je rêve d’y jouer depuis l’âge de 8 ans alors lorsque je me retrouve sur le terrain avec ce maillot c’est très particulier. C’était incroyable, il y avait beaucoup d’émotions positives mais je me sentais bien car j’avais été bien accueilli par le groupe et même par le public. J’étais dans les meilleures dispositions pour montrer que je méritais d’être à l’Olympique de Marseille.
Ce jour-là, tu as reçu des conseils de quelqu’un en particulier ?
Pas forcément, mais je connaissais très bien Frédéric Dehu puisque nous avions joué ensemble au Paris Saint-Germain pendant 2 saisons. En plus d’être un bon footballeur, c’était un homme très posé avec une grande expérience. Ensuite, dans les semaines qui ont suivies mon arrivée, je me suis rapproché de Fabien Barthez et de Sabri Lamouchi.

Justement, lors de ta première saison à l’OM, tu as souvent été associé avec Sabri Lamouchi. Peux-tu nous dire ce qu’il t’a apporté ?

Sabri a compté dans mon parcours de carrière car lorsqu’il est arrivé à l’OM j’étais encore un jeune joueur alors que lui était plutôt en fin de carrière. On avait plus de 10 ans d’écart ! Il avait toujours sa mentalité de gagnant et ultra professionnelle. Il avait joué dans de grandes équipes comme l’Inter Milan ou Parme, il connaissait donc d’autres footballs. Sabri me donnait de nombreux conseils sur la partie « gestion du match » et sur le plan tactique. C’était top d’avoir quelqu’un comme lui dans le groupe. Par la suite, on était proches de se retrouver en tant que joueur-coach mais cela ne s’est pas fait.
Comme joueur d’expérience, il y avait aussi Fabien Barthez
Fabien c’était le capitaine, c’était l’icône qui avait gagné la coupe d’Europe en 1993 et avec qui je jouais en 2005. C’était quelque chose d’extraordinaire pour moi car je l’avais vu à la télévision. Nos maisons étaient proches donc on faisait souvent la route ensemble pour aller à l’entrainement et il me racontait quelques anecdotes sur sa carrière ainsi que son passage à Manchester United. Fabien Barthez comme Sabri Lamouchi m’ont beaucoup appris.

Quelques semaines après ton arrivée il y a eu ce but que tu as inscrit au Stade Vélodrome face au PSG (victoire 1-0 de l’OM). Tu avais une appréhension avant d’affronter tes anciens partenaires ?

Non pas du tout. Au contraire, on avait préparé ce match d’une très bonne manière. Les deux équipes se sont affrontées dans un moment de la saison où elles étaient assez proches au classement. Après un début de championnat compliqué pour nous, on est arrivé face à eux dans une phase de montée en puissance collective mais aussi individuelle pour plusieurs joueurs comme Wilson Oruma, Mamadou Niang ou encore Franck Ribéry. On avait très envie de remporter ce match face au PSG.

Plus de 15 ans après, est-ce que tu peux nous raconter les coulisses de ce transfert ?

C’est simple : j’ai pris mon téléphone et j’ai directement appelé le club pour afficher ma volonté de rejoindre l’OM. J’avais un ami qui était dans la cellule de recrutement de l’OM et il m’avait mis en relation avec Jean Fernandez et Pape Diouf. C’est quelque chose qui s’est fait assez rapidement et de manière spontanée. Je sortais de deux saisons très positives avec Paris puisqu’on avait gagné une coupe de France, le club avait été vice-champion de L1 et il avait joué la Ligue des champions. Je me voyais m’inscrire dans le temps au PSG mais il y a eu des choix faits en début de saison 2005 qui ont remis en cause tout ça. Dans ma tête c’était clair : soit je restais à Paris pour me battre, soit je partais dans mon club de cœur qui était l’OM.

C’est assez rare qu’un joueur prenne son téléphone pour proposer directement son transfert. Qu’est-ce que tu as dit exactement ?

J’ai dit à Pape Diouf et Jean Fernandez que je correspondais au profil qu’ils recherchaient au milieu de terrain et que je ferais le nécessaire pour partir du PSG si l’OM avait besoin de moi. Ils ont sauté sur l’occasion puisque l’entraineur avait très envie de m’avoir dans son équipe. Ensuite Pape Diouf et Robert Louis-Dreyfus ont fait ce qu’il fallait pour concrétiser l’opération.

Durant ta première saison à l’OM tu vas monter en puissance et réaliser trois passes décisives. Jean Fernandez était ton coach, il est connu pour lancer les jeunes joueurs. Sur quels aspects il t’a permis de progresser ?

Dans beaucoup de domaines. Il avait une grande expérience et une immense rigueur à l’entrainement. C’est également une personne humble, vraie et généreuse. C’est le premier entraineur qui m’a fait jouer régulièrement dans une défense à trois. À l’époque, on jouait soit à quatre soit à trois défenseurs. Lorsqu’on a gagné contre Paris en début de saison, on avait une organisation en 352 et j’ai effectué ce match en tant que défenseur. Jean Fernandez est le premier à m’avoir permis d’essayer ce système-là, bien avant que je m’installe durablement à ce poste en sélection ou en club. C’est un coach qui force le respect, j’ai travaillé une seule saison avec lui et j’en garde un excellent souvenir.

C’est quoi la différence entre jouer en défense centrale ou au milieu de terrain ?

C’est très différent. Quand tu es derrière, tu as la plupart du temps le jeu devant toi. Cela te demande de gérer ta ligne défensive mais aussi le bloc équipe. C’est aussi toi qui doit donner le rythme. Enfin, en étant en défense, tu n’as pas le droit à l’erreur car tu es le dernier rideau de l’équipe. En position de milieu de terrain, c’est différent car tu dois faire attention à ce qu’il se passe devant toi mais aussi dans ton dos. C’est un football qu’on pourrait qualifier de « total » car il requiert d’autres qualités, notamment techniques. Sur la fin de ma carrière, ça aurait été compliqué de tenir à ce poste car il y a plus de rythme qu’en défense centrale.

Sur les réseaux sociaux, on voit souvent passer des photos de l’équipe 2006-2007. On t’y voit avec Djibril Cissé, Mamadou Niang, Samir Nasri, Franck Ribéry etc. Pourtant cette équipe n’a rien gagné. Comment expliques-tu cette sympathie et cette nostalgie ?

Je pense que ça s’explique par la mentalité et la qualité que nous avons montrées sur le terrain. Selon moi, c’est la génération qui a permis à l’OM de retrouver la stabilité dans le haut du classement après des années difficiles. Je pense aussi que c’est l’équipe qui a de nouveau rendu les marseillais fiers. Le club avait tout de même fait une finale de coupe d’Europe en 2004 mais il manquait de régularité dans le haut du classement. Au-delà d’une qualification en C1, les marseillais veulent voir une équipe avec une mentalité de marseillais. Sur le terrain, il faut que tu montres que tu es attaché à ce club et que tu fais ton maximum pour gagner. À partir de là, les gens se reconnaissent en toi, dans tes valeurs et tu crées une alchimie avec le public qui peut te tirer très haut. Mais toutes ces choses ne viennent pas seulement des joueurs. Cette mentalité est venue tout d’abord de Robert Louis-Dreyfus, puis de Pape Diouf et enfin de José Anigo. C’est tous ces gens qui ont permis ce cycle, qui a redoré le blason de l’OM.

En 2007 tu vas assister à l’émergence d’un certain Steve Mandanda. Il était comment à ses débuts ?

Je m’en souviens comme si c’était hier. À l’époque, le gardien en puissance et incontesté c’était Cédric Carrasso qui sortait d’une saison 2006-2007 de très haut niveau. Puis, on a vu arriver ce jeune garçon du Havre. Il était déjà très imposant physiquement et il nous a fait une grosse impression dès les premiers entrainements avec une tonicité et une explosivité dignes d’un puma. Puis Carrasso s’est gravement blessé et Steve a pris sa place. Dès son premier match à Caen, il dégageait une vraie sérénité et il a répondu présent avec une grosse prestation. C’est très important pour un jeune joueur de bien commencer, encore plus à Marseille.

Cette même année, après un début de championnat compliqué, Albert Emon va laisser sa place à Eric Gerets sur le banc de touche. Quels ont été les changements notables lors de son arrivée ?

Albert Emon était un entraineur avec une méthode douce, il laissait au groupe beaucoup de liberté. Eric Gerets avait l’expérience du football international de par sa stature, sa réputation d’ancien joueur mais aussi d’entraineur à l’étranger. Dès son arrivée, il a rapidement voulu tirer le meilleur de l’équipe avec beaucoup de rigueur. L’objectif était de redonner confiance aux joueurs et de leur inculquer une exigence envers eux-mêmes. J’ai le souvenir d’avoir, dès son arrivée, noué un lien très fort avec lui car on a échangé pendant presque 1h30 la veille du match face à Liverpool.

Avec Eric Gerets à la tête de l’équipe, l’OM a remporté la seule victoire d’un club français à Anfield Road. Comment s’est préparé ce match ?

Le coach n’était pas arrivé depuis longtemps (NDLR : Gerets est arrivé le 25 septembre 2005 et l’OM affrontait les Reds le 3 octobre) donc on a eu très peu de temps pour préparer ce match de C1. Il avait souligné nos points forts et nos points faibles. Surtout, le coach connaissait très bien le football international et il avait clairement identifié les qualités de Liverpool. Pour composer notre équipe en 4231 et consolider la colonne vertébrale de l’équipe, Eric s’est appuyé sur des joueurs d’expériences en partant de Gael Givet et Julien Rodriguez. Après, il y avait Benoit Cheyrou et moi-même au milieu de terrain puis Mamadou Niang au poste d’avant-centre. Mamad était très utile car il était capable de se créer lui-même des occasions. Sur le côté gauche, il avait mis Bolo Zenden afin d’apporter un profil expérimenté, capable de lire les situations. On avait une équipe très équilibrée avec Matthieu Valbuena en meneur de jeu pour qu’il mette la pagaille entre les lignes de Liverpool.

C’était quel type de coach Eric Gerets ?

Il n’avait pas de schéma précis dans lequel il souhaitait voir son équipe évoluer. Le coach aimait beaucoup le 4231 mais il aimait aussi le 442 en losange. C’est quelqu’un qui connait très bien le football et il sait comment tirer la quintessence de son équipe. Humainement, il impose le respect car il te parle avec son cœur. Si tu avais un problème de famille il était capable de te dire « pars et on se revoit dans deux jours ». Parfois, il prenait des décisions difficiles mais il prenait le temps d’expliquer ses choix qui étaient toujours pris pour le bien du collectif.

Lors de la deuxième saison d’Eric Gerets, l’OM recrute du lourd avec Bakary Koné, Hatem Ben Arfa ou encore Victorino Hilton mais ne remporte encore aucun trophée..

On a été présent pourtant ! On a connu trois défaites à domicile et malheureusement c’est ce qui nous a coûté le titre en fin de saison. Même après coup, c’est difficile de reprocher quelque chose à cette équipe car elle a fait bonne figure en C1 malgré un gros groupe (NLDR : le club a affronté le PSV Eindoven, Liverpool et l’Atletico Madrid) et elle va en quart de finale de coupe UEFA (élimination face au Chakhtior Donestsk). Enfin, il faut dire qu’on est tombé sur un énorme Bordeaux qui a gagné ses 11 derniers matchs.

À l’été 2009, Eric Gerets quitte l’Olympique de Marseille et tu vas également prendre la décision de partir du club. Tu as fait ce choix par rapport au départ du coach ?

Oui c’était lié. Selon moi, avec Eric Gerets et Pape Diouf, l’OM avait la formule qui devait lui permettre de rester tout en haut du classement. Le club pouvait rester stable sur le plan financier, sur le plan sportif et toujours avec cette identité marseillaise. Ensuite, il y a eu des tensions entre Pape Diouf et le conseil de surveillance de l’OM. Pape n’était plus heureux et il n’a pas pu assurer l’avenir du coach. De mon côté, j’avais déjà fait mon choix si l’entraîneur et le président ne restaient pas.

Qu’est-ce que tu as le plus aimé à Marseille ?

La manière de vivre le football. Les marseillais vivent ce sport à travers leur identité et leurs valeurs humaines. Supporter l’OM ne signifie pas être né à Marseille ou dans le sud. Être marseillais c’est avoir des valeurs de fierté, de sacrifice, de combativité et d’intégrité. Être marseillais c’est avoir ces traits de caractère avant même d’appartenir à la ville.

Après l’OM, direction Sunderland. C’est compliqué de passer de la Ligue 1 à la Premier League ?

Pour moi non car c’est un type de football dans lequel je n’étais pas en difficulté puisqu’il était basé sur la combativité et sur le rythme. Je me suis retrouvé comme un poisson dans l’eau. Il y a 10 ans, j’avais même trouvé que le championnat français et la Premier League étaient assez proches au niveau de l’intensité. Aujourd’hui, c’est différent. Le championnat anglais est un peu plus universel car il y a beaucoup d’influence de coaches étrangers. Moi j’avais Steve Bruce, un coach typiquement anglais, il avait la volonté de mettre un fort impact physique, d’aller chercher le contact pour mettre en difficulté l’adversaire de manière très directe. Aujourd’hui ça se fait moins.

Là-bas tu as retrouvé Boudewijn Zenden

Oui, on était très amis avec Bolo. C’est un super mec, on échangeait beaucoup lorsqu’on jouait à Marseille alors j’étais très content quand il m’a rejoint à Sunderland.

Qu’est-ce qui t’a le plus marqué dans le championnat anglais ?

Le public et sa manière de vivre le football. Avec Marseille, partout où on bougeait, c’était nos supporteurs qui mettaient l’ambiance hormis dans certains stades comme Lens, Saint-Étienne ou Paris. En Angleterre, c’est différent. Chaque équipe à un public extraordinaire. La manière de vivre les matchs m’a beaucoup plu puisque là-bas, à chaque duel, le public réagit.

Tu as également connu le Calcio avec plus de 100 matches avec la Lazio. C’est si tactique que ça la Série A ?

Oui c’est assez tactique. L’Italie est un jeu qui laisse peu de place au hasard. et les matches sont préparés de manière assez pointue. Par exemple, les joueurs connaissent parfaitement le système dans lequel évolue l’adversaire, ils sont très focus sur lui. Ils décortiquent tous ses points forts et tous ses points faibles de manière à annihiler ses qualités. Les italiens vont être attentifs à la manière dont l’équipe adverse sort le ballon depuis derrière, comment elle glisse et comment elle coulisse. L’objectif de ce travail tactique, c’est de trouver les distances justes. En plein match, ton équipe ne doit pas tergiverser sur la manière dont elle va sortir pour effectuer le pressing et à quelle hauteur. C’est la particularité de l’Italie où tu vas travailler ça pour chaque adversaire.

C’est quoi la différence entre un entrainement à la Lazio, à Sunderland ou à l’OM ?

Entre l’Italie et la France il n’y a pas de grande différence. La seule chose qui change c’est l’aspect tactique qui est plus important de l’autre côté des Alpes. Pour l’Angleterre, c’est des entrainements où l’engagement est total ! Je me souviens que les mecs étaient aussi engagés à l’entrainement qu’au match. Ce ne sont pas des choses qui se passent en France ou en Italie car dans ces deux pays tu t’entraines sérieusement mais les duels ne sont jamais aussi intenses que le weekend.

Un retour à l’OM ça pourrait t’intéresser ?

Il faut que ça vienne d’une envie commune. Pourquoi pas quand je commencerai une expérience en tant que dirigeant et si le projet me plait. Mais pour l’instant on en est assez loin.

Tu as joué dans de nombreux stades européens, tu as fait tous les stades anglais, connus toutes les enceintes italiennes et tu as même joué à Galatasaray. Tu le situes où le stade Vélodrome en terme d’ambiance ?

Pour moi le Vélodrome ça reste le numéro un ! Galatasaray c’est particulier, mais pas sur tous les matches. Sur les grosses rencontres, le Türk Telekom Arena ça devient un volcan, c’est limite intenable. Mais sur la longévité d’une saison, le Vélodrome ça reste le top. En Angleterre, c’est l’expérience qui est dingue car les supporteurs sont présents à chaque match, dans le froid et sous la pluie. Si tu perds 3-0 ils continuent à te pousser alors que si ça t’arrive à Marseille c’est compliqué… (Rire).

Si je te dis travail de l’ombre tu penses à quoi ?

Le travail de l’ombre c’est comme un iceberg. C’est 90% caché et 10% en surface. C’est généralement tout ce qui est fait pour arriver au résultat espéré. Il englobe tous les facteurs que tu ne vois pas mais qui sont les plus importants pour atteindre tes objectifs.

https://letravaildelombre.com/entretien … -y-signer/

@Mido Merci pou l'itw

Eldarion a écrit :

+1. Lorik Cana, belle époque, supers joueurs, supers entraineurs, super président, et palmarès vide. Quelle tristesse quand on y repense...

Le regret c'est sur la finale contre Sochaux. Incroyable de la perdre, on les avait éclaté 4-2 deux semaines avant, on mène en finale, ...

Le Flair a écrit :

Eldarion a écrit :

+1. Lorik Cana, belle époque, supers joueurs, supers entraineurs, super président, et palmarès vide. Quelle tristesse quand on y repense...

Le regret c'est sur la finale contre Sochaux. Incroyable de la perdre, on les avait éclaté 4-2 deux semaines avant, on mène en finale, ...

Horrible... Ça fait partie de mes pires souvenirs, avec le PSG - Bordeaux de 99 et le Marseille - Valence de 2004. Horrible horrible horrible.

Ben Arfa ne devrait pas faire partie de cette rubrique.