OM

Rabiot qui performe au Milan AC.

Je n'ai toujours pas digéré. Si l'on ne finit pas sur le podium en fin de saison, il ne faudra pas chercher bien loin les raisons de notre échec.

Une erreur impardonnable de nos dirigeants de l'avoir fait partir, digne du départ de Laurent Blanc pour l'Inter en 1999.

Sans trop vouloir remuer le couteau dans la plaie, voici un article concernant le Duc en Italie actuellement :

Arrivé en septembre de Marseille, le Français Adrien Rabiot s'est immédiatement imposé dans le vestiaire et sur le terrain. Il a dynamisé l'AC Milan et permet aux Rossoneri, qui reçoivent Sassuolo ce dimanche (12h15), d'avancer à un rythme de champion en Serie A.

Les chiffres parlent pour lui. L'AC Milan affiche une moyenne de 2,71 points par match en Serie A lorsque Adrien Rabiot, arrivé en toute fin de mercato estival en provenance de Marseille, est sur le terrain. Un rythme qui pourrait mener les Rossoneri au Scudetto. Sans lui, cette moyenne chute à 1,71, une cadence qui ne garantirait même pas une place qualificative pour la Ligue des champions.

Cette statistique fait de plus en plus sens à mesure que la fin de la phase aller du Championnat approche. Le Français a franchi un nouveau cap lundi, en inscrivant son premier but sous ses nouvelles couleurs contre le Torino (3-2). « Ça a apporté quelque chose à l'équipe (menée 2-0 avant que Rabiot n'ouvre le compteur des Milanais)... C'est un beau but », confiait modestement l'international français auprès de DAZN à l'issue de la rencontre.

Une frappe lourde de 29 m, cela faisait près de dix ans qu'un joueur du Milan n'avait plus marqué d'aussi loin. « Ce qui manque au football moderne, ce sont les tirs hors de la surface, parce qu'on cherche trop à marquer dans les six mètres, estime Walter De Vecchi, ancien joueur du club puis entraîneur des équipes de jeunes pendant plusieurs décennies. Contre des équipes qui se referment, la frappe de loin devient indispensable. »

Dans l'après-match, son coéquipier Samuele Ricci a lui aussi insisté sur l'impact de ce but, et plus largement sur celui du Français : « Personne ne s'attendait à un but pareil, ça a changé la rencontre. On sent sa présence quand il est sur le terrain, même quand il ne fait rien d'extraordinaire : il est toujours bien placé, fait toujours le bon choix et ne perd quasiment jamais le ballon. »

Fidèle adjoint de Massimiliano Allegri, Marco Landucci n'a pas tari d'éloges après la rencontre contre le Torino, sur Milan TV : « C'est un professionnel exemplaire, un gars formidable, un grand joueur. Il a la force, la technique, la qualité de pied. » La relation avec ce staff est particulière, comme Rabiot l'expliquait encore fin novembre à La Gazzetta dello Sport : « En 2019, j'avais choisi la Juve pour Allegri. On s'était rencontrés et il m'avait tout de suite plu, mais il n'était plus là quand je suis arrivé. On s'est finalement retrouvés deux ans plus tard et on a créé une belle relation, sur le terrain et en dehors. C'est quelqu'un de très positif, qui a toujours le mot juste pour nous apaiser. »

Quand je pense que l'on se retrouve avec O'Riley et Gomes à sa place ... Une plaie qui restera longtemps ouverte chez moi.

Dernière modification par MJ13 (Aujourd'hui 17:56)

Ounahi élu "homme du match" hier contre la Sociedad.



Trajectoire inverse, mais en lisant hier la liste du Senegal, je me suis rappelé de Bamba Dieng.
Assez dingue vu le potentiel entrapercu à l'OM, je le voyais faire une carrière à la Jordan Ayew en allant à Lorient.
Il ne joue quasiment pas avec Lorient (58 minutes depuis le début de saison), il arrive en fin de contrat en fin de saison. Je suis assez curieux de voir où il rebondira.
Choix sportif en L2 pour relancer sa carrière à 25 ans ou répondre aux sollicitations financière du Golfe ?