OM

La passe en retrait bien sentie.
Sinon qu'est-ce qu'il est fort Vardy !

Vardy je pense que c'est difficile de faire plus sous-côté que lui. Ce mec est une bête, à mon avis top 5 buteur easy, et le mec est à Leiicester quoi

svidrigailov a écrit :

Phaeton a écrit :

Vardy je pense que c'est difficile de faire plus sous-côté que lui. Ce mec est une bête, à mon avis top 5 buteur easy, et le mec est à Leiicester quoi

J'avoue avoir pensé qu'il serait un feu de paille.
mais il confirme bien.
Je me demande si c'est Leicester qui a blindé son contrat ou si ce sont les grosses écuries qui ne le veulent pas...

En attendant Leicester fait déjouer Leeds qui a quand même la possession mais n'en fait rien.
Il manque Rodrigo mais cela ne peut être l'explication...

Je ne trouve pas qu'ils l'aient justement. Ils sont étouffés pour le moment par une équipe de Leicester qui exerce un pressing haut de toute beauté.
Je suis admiratif de leur tactique (passage du 3-4-2-1 en 5-3-2 à toute vitesse) dès que Leeds récupère la balle.
Mendy est au top dans ce rôle, on dirait du Kanté tout craché.
Très peu de danger pour Scheimel alors que Meslier, fébrile, a les gants chauds.
Leicester mérite vraiment son classement pour moi... Et Bielsa a la mi-temps pour remettre de l'ordre...

1 - 2

On dirait un autre match tout à coup.

En plus, je viens de trouver un autre stream avec un bruit de supporters préenregistré. cela change tout...

Dernière modification par svidrigailov (02-Nov-20 22:18)

Score lourd mais pas forcément immérité pour Leicester qui a fait un gros match

Drogbatator a écrit :

j'avais pas vu mais il y avait pas mal d'absents tout de même

Peut-être

Je mets ce bel article du Guardian consacré à De Zerbi ici.
Mais j'aurais pu le mettre sous "Lopez".

Le jeu en possession de De Zerbi a posé les bases de la victoire de Sassuolo à Naples

Le jeune manager qui a étudié les méthodes de Bielsa gagne des admirateurs après avoir porté son équipe à la deuxième place grâce à une victoire 2-0

De Zerbi a parfois du mal à s'endormir avant un grand match. Lors d'un événement en ligne organisé par les dirigeants sportifs de sa ville natale, Brescia, en mai, le manager de Sassuolo a avoué être obsédé par les forces de l'adversaire, adaptant la préparation de son équipe à un degré qu'il soupçonne être contre-productif.

Les adversaires de ce week-end lui ont offert beaucoup de matériel pour le tenir éveillé la nuit. Naples a marqué 14 buts en quatre matchs de Serie A, qu'il a tous remportés. Le nouveau venu Victor Osimhen, qui s'est enrichi de 70 millions d'euros, a parfaitement intégré l'équipe et Hirving Lozano commence à montrer ses qualités aux côtés du duo bien établi de Lorenzo Insigne et Dries Mertens. Leur seule défaite jusqu'à présent est une défaite fictive, infligée après un match nul contre la Juventus. Ils étaient déjà considérés comme des prétendants au titre.

Pour une fois, cependant, De Zerbi avait une préoccupation différente. Il savait tout sur la qualité de Naples. Ce qui le préoccupait, c'était le refus de ses joueurs d'accepter les leurs. "Ces deux derniers jours, quand j'ai dit à l'équipe que nous étions tout aussi forts, je les ai regardés en face et il semblait qu'ils ne me croyaient pas", a-t-il déclaré à Sky Sports dimanche. "Je les ai arrêtés et je leur ai dit que je ne suis pas un homme qui vend de la fumée. Quand je parle, c'est parce que je suis convaincu par les mots que je dis. J'étais convaincu d'être capable de battre Naples".

Sassuolo était elle-même invaincue, même si le calendrier avait été favorable. Deux de leurs trois victoires avaient été remportées contre les nouveaux promus Crotone et Spezia, et la troisième, contre Bologne, a nécessité une remontada de trois buts (4 - 3). L'équipe de De Zerbi avait fait match nul à domicile contre Cagliari en déplacement face à Torino.

Meilleure attaque du championnat (16 buts), l'équipe affrontait Naples sans Ciccio Caputo, Domenico Berardi et Filip Djuricic, auteurs de 11 des 16 buts.

Pourtant, De Zerbi avait un plan. Si Sassuolo pouvait priver Naples de la possession du ballon, leur propres constellation de talents offensifs ne pourrait pas faire de dégâts. C'était une idée audacieuse, contre une équipe qui a été très efficace pour conserver le ballon sous les ordres de Gennaro Gattuso. Une idée évidente en même temps. C'est ainsi que De Zerbi a modelé son équipe depuis son arrivée en 2018.

Il a fait valoir qu'une équipe qui a le ballon a plus de pouvoir pour fixer l'ordre du jour, mais son point de vue est également influencé par sa propre expérience en tant qu'ancien numéro 10 - qui a mené une carrière modeste mais heureuse principalement dans les deuxième, troisième et quatrième divisions du football italien. "Quand je n'avais pas le ballon, je devenais nerveux et je ne m'amusais pas", a-t-il déclaré. "Donc, en tant que manager, je garde toujours cette pensée à l'esprit."

Peut-être Naples se sentait-elle déjà nerveuse dimanche. On ne peut pas attribuer à un manque de possession de balle le ratage d'Osimhen à la 11e minute, quand Andrea Consigli lui a passé le ballon directement à 10 mètres. Le gardien a bloqué le tir de manière impressionnante, mais une meilleure finition aurait rendu le tir imparable.

A ce moment-là, il faut dire que l'approche de De Zerbi commençait à paraître dangereusement malavisée. Sassuolo avait déjà perdu le ballon une fois en essayant de jouer à l'arrière, et Mertens avait réussi un tir juste à côté de la surface.

Lentement, cependant, ils se sont améliorés. De meilleures décisions ont été prises en matière de passes de la défense, permettant au duo de milieu de terrain central Maxime Lopez et Manuel Locatelli de s'emparer du ballon. Ensemble, ils ont joué à distance, frustrant leurs hôtes et minimisant les risques. À la mi-temps, Sassuolo avait profité de près de 60 % de la possession de balle tout en se créant à peine une occasion.

Un match nul aurait été un bon résultat. Mais Sassuolo savait aussi que les occasions viendraient avec de la patience. Le retour de Jérémie Boga dans l'équipe de départ, après avoir manqué le premier mois de cette saison à cause du coronavirus, signifiait qu'ils pouvaient être dangereux. En plus d'avoir marqué 11 buts la saison dernière, Boga a été le dribbleur le plus prolifique de la Serie A.

C'est son incusrion dans la surface au début de la deuxième mi-temps qui a permis à Sassuolo d'ouvrir le score. Boga se glisse entre deux défenseurs avant d'être taclé par Gaetano Di Lorenzo. Penalty accordé grâce à la VAR. Locatelli le transforme. 0 - 1.

La réaction de Naples est frénétique. Il y a eu des occasions d'égaliser, mais leur jeu a été désordonné. Lorsque Kostas Manolas a finalement réussi à mettre le ballon au fond des filets dans le temps additionnel, son effort a été refusé pour un hors-jeu contre Osimhen. Le Nigérian semble aussi avoir été victime d'une faute lors de l'action qui a finalement conduit au deuxième but de Sassuelo - marqué par Lopez en contre.

Rien de tout cela n'a fait douter De Zerbi. "On ne sait jamais s'il sera facile ou difficile de gagner", a-t-il déclaré. "Ce que je dis aux gars, c'est que si nous perdons, nous pouvons au moins choisir comment perdre. Si nous perdons, nous perdrons en jouant au football".

C'est une approche qui lui a valu de nombreux admirateurs. Pep Guardiola saluait déjà le travail de De Zerbi en 2018, et de nombreux observateurs ont cherché à établir un lien entre les deux. En vérité, ce serait trop simplifié, car l'Italien cite un grand nombre de managers parmi ses inspirations.

Lors d'un autre séminaire en ligne ce printemps, De Zerbi s'est dit inspiré par les travaux de Jürgen Klopp à Liverpool et de Maurizio Sarri à Empoli. Mais le nom auquel il revient le plus souvent est celui de Marcelo Bielsa.

De Zerbi a écrit à l'Argentin après avoir décroché son premier poste en Serie A, à Palerme en 2016, et a été surpris de recevoir un appel de retour deux jours plus tard. Bielsa l'a invité à passer une semaine à Lille pour observer l'entraînement, et a pris le temps de s'asseoir pendant cette visite et d'entrer dans les détails. "Je ne le connaissais même pas", se souvient De Zerbi. "S'il est censé être fou, alors j'aimerais bien l'être aussi."

Il ne lui faudra pas longtemps pour acquérir une telle réputation s'il continue comme ça. Sassuolo représente une ville d'un peu plus de 40 000 habitants et occupe actuellement la deuxième place de la Serie A. Dimanche, De Zerbi les a emmenés au Stadio San Paolo sans ses trois meilleurs buteurs et a battu Naples à leur propre jeu.

  CRYSTAL PALACE - LEEDS

samedi 7 novembre 2020 - 15h

Composition attendue des deux équipes



Stade : Selhurst Park
Arbitre : Chris Kavanagh (cette saison : 4 matchs, 18 jaunes, 0 rouge ; 4,5 cartes/match)


[b]CRYSTAL PALACE
- Banc : Henderson, Kelly, McCarthy, Meyer, Jach, Benteke, Tomkins, Eze, Cahill, Sakho, Mitchell
- Incertain : Cahill (tibian), Tomkins (forme)
- Blessés : Ward; Wickham ; Hennessey
- Suspendu : Milivojevic.
Fair play : 12 jaunes, 1 rouge
- Forme actuelle :
Crystal - Southhampton . 1 - 0
Bounemouth - Crystal : 0 - 0, pen. 11 - 10 (coupe)
Man Utd - Crystal : 1 - 3
Crystal - Everton : 1 - 2
Chelsea - Crystal : 4 - 0
Wolves - Crystal : 2 - 0
Meilleur buteur : Zaha (5 buts)

LEEDS[/b]
- Banc : Poveda, Casilla, Raphinha, Roberts, Shackleton, Struijk, Casey, Davis
- Incertain : Raphinha (cheville)
- Blessés : Rodrigo (coronavirus, 21 Nov), Phillips (épaule, Dec), Llorente (aine, inconnu), Forshaw (hanche, inconnu)
- Aucun suspendu
- Fair play : 9 jaunes
- Forme actuelle :
Liverpool - Leeds : 4 - 3
Leeds - Fulham : 4 - 3
Leeds - Hull (coupe) : 1 - 1, victoire Hull 9 - 8 aux penalties.
Sheffield - Leeds : 0 - 1
Leeds - City : 1 - 1
Leeds - Wolverhampton : 0 - 1
Aston Villa - Leeds : 0 - 3
Leeds - Leicester : 1 - 4
Meilleur buteur : Bamford (6 buts)


Leeds n'uraa pas la tâche facile en affrontant les expérimentés Roy Hodgson et Crystal Palace. L'équipe de Hodgson ne lâche rien et sera bien préparée pour tenir bon et lancer des contre-attaques.
Hodgson a certainement regardé avec beaucoup d'attention la tactique de Leicester lundi dernier.

Les visiteurs, à égalité de points avec Palace, produiront leur rituel fait de mille passes. Cela avait marché pour les hommes de Bielsa, mais la défaite de la semaine dernière contre Leicester a été la plus mauvaise performance de Leeds jusqu'aujourd'hui. L'idéal serait d'éviter une douloureuse chute après un excellent retour en PL.

Ils ont fumé les arbitres ! Il y a jamais hors jeux de Bamford !

svidrigailov a écrit :

Comme prévu, Palace a attaqué fort et pressé haut.
Comme prévu, ils ont marqué (12e)
(Presque) comme prévu Leeds n'a pas lâché et Bamford a égalisé (17e).
But refusé pour un bout de biceps hors-jeu.

Et à l'instant, Eze double la mise pour Palace sur un super coup-franc direct qui heurte le bas de la transversale avant de rebondir dedans.

Leeds semble cherche un second souffle depuis une semaine.

Eze il est impressionnant je trouve.