OM

om5413 a écrit :

jo_spart a écrit :

Très bon match. Intelligent dans ses déplacements et ses choix.
Un vrai but d'attaquant et un autre (hors-jeu) où il a su montrer une vraie palette technique.
J'imagine que se taper Wahi puis Maupay en sortie de banc (ou inversement) à défendre, ça va pas être une sinécure pour nos adversaires.

C'est pas faux.
@Sheryo : dans une attaque à deux têtes, il peut-être intéressant, j'y ai pensé aussi. Tout seul, sa capacité à combiner avec des joueurs entrant va être précieuse.

C'est clair il aura vraiment un coup a jouer quelque soit le système il pourra être utile.
Il part dans la peau d'un remplaçant mais je pense qu'il aura pas mal de temps de jeu.

Si harit continue de décevoir (à part son gros match contre Brest j'ai déjà du mal) je serais même curieux de le voir en 10 derrière wahi car aujourd'hui on a vu sur quelques ballons qu'il était capable de trouver des très belles ouvertures dans l'intervalle pour les ailiers. J'ai notamment une ouverture en tête sur Luis Henrique il me semble

om5413 a écrit :

Sheryo13 a écrit :

om5413 a écrit :

C'est pas faux.
@Sheryo : dans une attaque à deux têtes, il peut-être intéressant, j'y ai pensé aussi. Tout seul, sa capacité à combiner avec des joueurs entrant va être précieuse.

C'est clair il aura vraiment un coup a jouer quelque soit le système il pourra être utile.
Il part dans la peau d'un remplaçant mais je pense qu'il aura pas mal de temps de jeu.

Si harit continue de décevoir (à part son gros match contre Brest j'ai déjà du mal) je serais même curieux de le voir en 10 derrière wahi car aujourd'hui on a vu sur quelques ballons qu'il était capable de trouver des très belles ouvertures dans l'intervalle pour les ailiers. J'ai notamment une ouverture en tête sur Luis Henrique il me semble

Pas forcément en 10, mais en 9 et demi ou électron libre. De toute façon, la position d'Harit oscille, que ce soit défensivement ou offensivement. Généralement on défend dans une sorte de 4-4-1-1. Maupay pourrait le faire. En 4-4-2 aussi. D'ailleurs, j'ai trouvé le positionnement de Maupay sur les relances niçoises particulièrement intelligent.
En phrase offensive, Harit a beaucoup de liberté pour évoluer sur la largeur, mais du mal à exploiter la profondeur, ou disons la direction verticale, sauf en contre. Maupay se déplace bien et pourrait amener pas mal de variété dans les appels, surtout associé à un Wahi qui aime bien bouger également.
Dans tout ça, ne pas oublier Carboni, qui aura son utilité, j'en suis persuadé. On n'a pas insisté à ce point pour rien. Je lui vois quelques qualités et je suis persuadé qu'il trouvera le moyen de les montrer.
Soutenu par une paire Hojsberg-Kondo (actuel) ou Hojsberg-Rongier, le troisième milieu ou le deuxième attaquant aura suffisamment de gages derrière lui pour se montrer. Lui restera à faire un bon usage du ballon et de ses opportunités.

Oui j j'attends de le voir enchaîner mais pour moi c'est carboni qui viendra prendre ce poste de numéro 10 de toute façon, on avait accepté l'offre russe pour harit c'est pas pour rien.

Maupay pourra quant à lui tourner à la place ou avec wahi dans un rôle de 9 ou 9 et demi

J'aime beaucoup son style, je pense qu'il doit être vraiment relou pour les défenseurs s'il joue sur ses qualités (et avec l'âge et l'expérience qu'il a il en a parfaitement conscience). Je pense qu'il va être hyper important cette saison, c'est un joueur qui va rapidement être dans le top 3 des chouchous du Vélodrome. Que ça soit titulaire ou remplaçant il va tout donner à chaque fois, et avoir ce style d'attaquant en 2024 je trouve que c'est plutôt rare vu comment ce poste à évolué. Puis je ne vois pas Faris incompatible avec lui et Wahi. On n'avait pas eu autant de qualités et complémentarités sur nos attaquants depuis belle lurette sur un poste ou historiquement on a toujours galéré

Dernière modification par Just Blaaaaze (15-Sep-24 11:18)

https://x.com/vanteamom/status/18379643 … W91o8y5ltA

chuuwah a écrit :

https://pbs.twimg.com/media/GYHDcVuX0AA … ;name=orig

Non mais sérieux 

Haha il me régal.

Le genre de joueur que tu détestes chez les autres

https://x.com/DFarmassenberg/status/1837970892313264285

las8 a écrit :

https://x.com/DFarmassenberg/status/1837970892313264285

Il a bien fait de se baisser le Maupey, un peu comme Bakambu sur le prix puskas de Payet contre Qarabag

Il fait du clientélisme, mais dans l'attitude, le combat, le body language, il va nous apporter énormément ! Quelle différence avec la plupart des attaquants Droopy qu'on a eu comme Vitinha par exemple.
Il va être déterminant toute la saison et pas forcément que via ses buts. Il parle beaucoup aux autres joueurs, il doit être un des relais pirncipaux de De Zerbi je pense.

La Provence a écrit :

Publié le 28/09/24 à 09:14 - Mis à jour le 28/09/24 à 09:29
OM. "J'ai pris le parti d'être moi-même" : l'interview de l'attaquant Neal Maupay

Par Jean-Claude LEBLOIS


Vendredi à la mi-journée, en marge de notre entretien, Neal Maupay a accepté avec le sourire de poser avec une bouteille d’eau, clin d’œil à son chambrage lyonnais, dimanche dernier, après la victoire de l’OM.
Frédéric Speich

Recruté cet été, l'attaquant de l'OM vit un début de saison rêvé entre les bons résultats de l'équipe dirigée par Roberto De Zerbi et ses prestations. Sans parler de ses facéties sur et en dehors du terrain, qui font le bonheur des supporters olympiens.

Homme au caractère bien trempé et joueur au tempérament acidulé, Neal Maupay semble déjà adopté. Buteur pour sa première au Vélodrome face à Nice, son club formateur, précieux à Lyon pour la folle victoire marseillaise, l'attaquant de 28 ans s'est très bien adapté, à peine un mois après son arrivée. Entretien.

Neal Maupay a écrit :

La semaine est-elle plus douce après une victoire comme celle obtenue contre Lyon (2-3) dimanche dernier ?

Forcément. Ça donne de la joie et de la bonne humeur, mais aussi de la confiance, à tout le groupe et à tout le club. C'est plus facile et agréable de reprendre après un tel match.

Est-ce que cela fédère encore plus le groupe ?

Je pense, oui. C'est le genre de match qui soude un groupe, qui fédère les joueurs, le staff et les supporters. Il y a eu beaucoup de changements cet été avec de nouveaux joueurs et un nouveau staff. Ça ne fait que cinq matches, mais vivre une soirée comme celle-là tous ensemble, ça nous rapproche.

Racontez-nous le sentiment qui vous anime au coup de sifflet final...

C'est le football, les émotions, l'adrénaline. C'était un match engagé, intense à tous les niveaux, aussi bien physiquement qu'émotionnellement car on a été réduits à dix très vite. Le scénario du match est fou, on revient au score, on passe devant, on pense créer l'exploit... et Lyon égalise à la dernière minute. On se dit qu'on va garder le point du nul et, finalement, sur l'engagement, on récupère la balle et Jonathan marque un super but. C'était un moment spécial, une soirée spéciale.
À lire aussi : OM. Neal Maupay, on l'appelle l'ovni

Sur le but sensationnel de Rowe, on vous voit chambrer Duje Caleta Car. Que lui avez-vous dit ?

Vous imaginez bien que je ne vais pas vous le dire (rire) ! Sur le terrain, on se chamaille un peu. Quelques minutes avant, sur un duel, on a eu quelques mots tous les deux, mais ce n'est rien de personnel. On est des compétiteurs, on veut gagner, parfois il y a quelques mots ou gestes qui partent, mais ce n'est rien de méchant.

Comme cette photo postée sur votre compte Instagram après le match où on vous voit dans le vestiaire en train de boire une bouteille d'eau siglée OL...

Le foot reste un jeu, du plaisir. J'ai toujours eu ce côté chambreur sur et en dehors du terrain. Pour moi, ça fait partie du jeu. Je trouve ça dommage que des joueurs se retiennent parce que, justement, on est des joueurs de foot, que tout est analysé, commenté, critiqué... J'ai pris le parti d'être moi-même. Si je veux chambrer un ami ou faire un truc dans un match, je n'ai pas envie de me priver.

Et vous avez fait plaisir à tous les supporters de l'OM...

Je me doute qu'ils ont dû apprécier ! C'était assez marrant, il n'y a pas besoin de dire grand-chose de plus, juste de prendre une photo. Ça allait avec la victoire, tout le monde était content. C'est cool.

Il y a le revers de la médaille aussi. Vous êtes présent sur les réseaux sociaux, comment appréhendez-vous la haine qui s'en dégage ?

C'est une des raisons pour lesquelles je ne lis pas les commentaires. Je suis sur les réseaux, effectivement, mais je ne lis pas. Les gens se permettent des choses... Je trouve ça scandaleux. Ils se permettent de dire des choses qu'ils ne diraient pas dans la vraie vie. C'est ce que je n'aime pas sur les réseaux, c'est tellement facile de créer un profil, de mettre une fausse photo et de dire n'importe quoi. C'est dommage. Mais il y a trop de messages haineux. Je suis le premier à chambrer, mais ça doit rester dans les règles de l'art, on n'insulte personne, on ne menace personne... Les clubs et les fédérations commencent à enquêter pour retrouver ces personnes cachées derrière des comptes et les punir. Il faut que les gens sachent qu'ils n'ont pas le droit de dire tout et n'importe quoi sur les réseaux sociaux.

Avez-vous reçu un message de votre ami Alexy Bosetti ?

Non, il ne m'a rien envoyé. Mais on m'a rapporté ce qu'il avait dit dans la presse.

Interrogé par nos confrères de L'Équipe sur les joueurs qui passent dans un club rival, il a dit : "Je préfère ne pas parler de Neal car je l'aime trop humainement. (...) Le voir là-bas, je suis dégoûté"... Comment avez-vous réagi ?

Personnellement, c'est une chose qui ne m'atteint pas. Je n'ai pas d'avis à ce sujet, je suis en paix avec mon choix, heureux d'être ici. Le début de saison du club et le mien me donnent raison. C'est le football, il y a les médias, les supporters, ça fait énormément de bruit. Mais je le répète, je suis en paix avec mes choix et mes idées, le reste n'est que du blabla...

Idem quand le joueur de West Ham Michail Antonio avait dit que vous étiez le "joueur le plus détesté de Premier League" ?

Ah oui, il avait dit ça. Mais sincèrement, je ne le pense pas. Il faut demander aux autres joueurs. Après, si on parle du "joueur le plus chiant" (à affronter), je prends ça comme un compliment car c'est mon style de jeu. Je veux gagner et de la première à la dernière minute, je vais tout faire pour y arriver. Si on doit s'accrocher, si je dois faire une faute, être à la limite des règles, comme sur le but contre Nice où je pousse mais pas trop pour ne pas me mettre à la faute, je suis prêt à tout. Je prends ça comme un compliment, et j'ai de très bons amis partout où je suis passé en Angleterre.

D'où vous vient cette volonté de rentrer dans la tête de vos adversaires ?

C'est dur à expliquer, mais j'ai toujours été comme ça depuis que je joue au foot et que je fais de la compétition. Si on joue au tennis ou aux cartes, je suis pareil. Je hais tellement la défaite que je fais tout pour gagner. Cette culture, ça se travaille un peu, mais personnellement, je l'ai toujours eue en moi.

Est-ce que vous tentez de la transmettre dans le vestiaire ?

Justement, j'essaie. Même si je ne suis pas le plus vieux, j'ai commencé tôt et j'ai pas mal d'expérience. C'est quelque chose que j'essaie d'inculquer aux autres. Je discute avec beaucoup de joueurs dans le vestiaire parce qu'on a un groupe jeune. D'ailleurs, ce que j'adore dans le foot, c'est qu'on vient de tous les horizons, de cultures différentes, mais qu'on peut tous se tirer par le haut. Je peux amener cette "extra-motivation" à certains, qui eux-mêmes vont me transmettre autre chose.

On a l'impression que vous êtes ici depuis longtemps. Comment se passe votre adaptation ?

Ça se passe très bien. C'est facile de s'intégrer dans ce groupe, il n'y a que des bonnes personnes. On a un groupe jeune, tout le monde s'entend bien et depuis que je suis arrivé on a gagné les matches. Ça aide à se construire et à travailler quand tu gagnes le week-end. C'est un bon début. Je suis content, satisfait de la façon dont ça se passe. On travaille dur à l'entraînement, on a une grande marge de progression et, en même temps, on arrive à faire des résultats et à gagner. C'est de très bon augure pour la suite de la saison.

Vous avez déjà évoqué le rôle de Roberto De Zerbi dans votre choix de venir à Marseille. Un mois plus tard, ça fait quoi de le voir au quotidien ?

Je savais un peu à quoi m'attendre, mais le fait d'être ici et de le voir tous les jours, c'est encore un niveau au-dessus. C'est un fou de travail. Il vit pour le football, pour son équipe, et on le voit dans la relation qu'il a avec les joueurs. Il est super proche, comme une figure paternelle. Il va être dur, il n'y a pas un jour où il ne nous pousse pas à nous dépasser, mais c'est de la bienveillance car il essaie de tirer le meilleur de nous-mêmes. C'est un plaisir de travailler avec lui, même si c'est dur, car c'est le seul moyen pour arriver à ce qu'il essaie de mettre en place.

Sur quel aspect vous étonne-t-il ?

C'est surtout à quel point il a le sens du détail. Dans sa tête, tout est calculé, carré. La moindre position sur le terrain, le moindre positionnement du corps, le pressing, où on doit être... Tout est comme dans un schéma. Il ne laisse rien au hasard. Quand on prépare une séance, il nous explique le but. Si on doit être à tel endroit, on ne peut pas être ailleurs. On me l'avait dit, mais de le voir au quotidien, c'est vraiment autre chose.

Tout le monde autour du club semble obnubilé par la réception du PSG le 27 octobre. Est-ce votre cas ?

J’imagine ! C’est un peu le piège. Vouloir préparer un match alors qu’il y a des échéances avant serait une erreur. Il y a des matches importants, notamment Strasbourg puis Angers. Mais historiquement, OM-PSG ou PSG-OM, c’est le plus gros match de la saison pour le club et nos supporters. On a hâte d’y être, mais on n’y pense pas encore. On est clair entre nous : on a des objectifs et on ne peut pas se permettre de mettre la charrue avant les bœufs.

Justement, à Strasbourg, vous pourrez compter sur la présence dans le groupe d’Adrien Rabiot, un autre coup du mercato…

C’est un super recrutement réalisé par Medhi (Benatia) et le club. Adrien peut prétendre à n’importe quel club européen. C’est un joueur d’une qualité supérieure. C’est un grand plus pour nous de l’avoir dans l’équipe. Il a encore besoin de rythme car il n’avait pas de club, mais il sera avec nous ce week-end et on a hâte de le voir jouer (lire en page suivante).

Comment avez-vous réagi quand vous avez vu que l’OM recrutait des joueurs comme Hojbjerg et Greenwood ?

Je n’étais pas encore en contact avec le club, mais j’étais un petit peu surpris. Ce sont des joueurs connus et reconnus en Angleterre. Quand ils ont signé, je me suis dit direct que l’OM était en train de construire un truc sérieux. Quand tu recrutes De Zerbi, un des meilleurs coaches au monde à l’heure actuelle, Hojbjerg, un mec réputé en Premier League, et Greenwood, avec tout le talent qu’il a, tu envoies un message fort à tout le monde en affichant tes ambitions.

Vous découvrez le vestiaire, mais on imagine que vous livrez déjà un beau duel avec Harit pour l’ambiance ?

Amine gagne haut la main ! C’est un boute-en-train. Je ne le connaissais que de ce que je voyais à la télé, mais c’est top de l’avoir dans le vestiaire, il fait des blagues, met de la bonne humeur. C’est important d’avoir un joueur comme lui dans le groupe, ça amène de la fraîcheur.

Quid de Balerdi ?

"Leo", c’est notre capitaine. Je ne le connais pas encore beaucoup, je n’ai pas eu la chance de beaucoup jouer avec lui non plus. Quand je suis arrivé, il était blessé, puis il a pris un carton rouge contre Lyon. Mais dans le vestiaire, c’est notre leader. Il est fédérateur, super gentil, on sent qu’il aime le club.

Un mot sur Rulli, autre grand artisan du début de saison de l’OM ?

Je le connaissais de nom, mais pas plus. Je suis impressionné depuis que je suis arrivé. Quand tu es dans le foot, tu vois très vite les qualités des uns et des autres. Lui, comme Rabiot, c’est un gardien d’une qualité supérieure. Contre Lyon, on gagne, Jonathan (Rowe) met un super but à la fin, mais ses arrêts valent autant que des buts.

Après sept ans en Angleterre, quel regard portez-vous sur l’arbitrage en France ?

Il me faut un peu plus de temps pour avoir du recul. Mais j’ai été assez surpris contre Nice du nombre de fautes sifflées par l’arbitre et du peu de contacts autorisés. Les arbitres ont fait des réunions avec les clubs cet été pour expliquer qu’ils voulaient laisser jouer davantage, mais pour le moment ce n’est pas ce que j’ai vu. Je ne parle pas d’erreurs, car il y en a de partout et c’est compliqué d’être arbitre, mais au niveau de l’engagement, j’ai l’impression qu’ils laissent moins jouer.

Balerdi aurait-il été expulsé en Angleterre selon vous ?

Peut-être pas. Mais c’est compliqué, chaque arbitre est différent. Peut-être aussi qu’un autre arbitre du championnat n’aurait pas mis le rouge. Je suis pour laisser jouer car il y a plus d’intensité et moins de coupures. Ça ne peut faire que du bien au football.

Êtes-vous du genre à avoir des objectifs en termes de stats ?

Je ne me suis jamais mis d’objectifs chiffrés. Je ne me fixe pas de limites. Si je suis en confiance et que je joue régulièrement, je sais que je peux marquer des buts. Ça dépend de mon temps de jeu, de comment fonctionne l’équipe. Elye (Wahi) joue beaucoup, je suis prêt. Quand ma chance viendra, comme face à Nice, je ferai le maximum pour marquer des buts. Mais je ne pense pas trop à ça et je crois que tout le groupe est sur la même longueur d’onde. On a envie d’accomplir quelque chose collectivement. Il faut mettre ses objectifs et son ego de côté pour être au service de l’équipe. Il y a quelque chose à faire, on doit tous se mettre au diapason…