OM

Ruud Devils a écrit :

chuuwah a écrit :

La Provence a écrit :

Faute d'avoir pu/voulu lui fournir une doublure crédible, lors du mercato ou comme joker, l'OM ne pourra pas retomber sur ses pattes, avec Quentin Merlin. Rentré meurtri de sa pige chez les Espoirs, l'ex-Canari est espéré, au mieux, face à Angers, le 4 octobre. D'ici là, les dirigeants marseillais rumineront la gestion, jugée "irrespectueuse", de cet élément essentiel au système De Zerbi. L'Olympique l'a d'ailleurs bien fait savoir au staff de Gérald Baticle, sélectionneur des Bleuets, qui a forcé le joueur à enchaîner en invoquant une simple béquille quand Merlin, inquiet, se plaignait de sa cuisse. "En réalité, c'était tout sauf une béquille", peste-t-on en haut lieu.

Pour pallier son absence, Roberto De Zerbi n'a pas pléthore de solutions. La plus évidente mène à Amir Murillo, déjà sollicité dans le couloir gauche contre l'OGC Nice. Pol Lirola pourrait, aussi, être relancé comme à Brest... ce qui laisserait le Panaméen à son poste de prédilection et éviterait de brusquer la montée en régime d'un Valentin Rongier pas vraiment emballé par ce rôle de latéral (droit) hybride.

Baticle, lyonnais historique, qui force un joueur marseillais à jouer un match alors qu'il se plaint, à quelques jours de l'Olympico.

Y a que moi qui trouve ça étrange ?

J'y vois de l'incompétence plutôt qu'une manoeuvre pour ma part.

Quel intérêt un coach d'une sélection qui joue un match à gagner d'aligner un joueur qui risque de se blesser.
Je pense qu'il veut aligner la meilleure équipe pour lui. Son staff médical a posé un mauvais diagnostic apparemment.

Tu veux dire que si Merlin jouait à Lyon il aurait agit différemment ?

el condor a écrit :

Tu veux dire que si Merlin jouait à Lyon il aurait agit différemment ?

Je me pose la question. J'émets un simple doute.

Je pense pas qu'il a intentionnellement blessé le joueur pour le priver de l'Olympico, mais qu'il en avait rien à foutre des conséquences si tel était el cas.

chuuwah a écrit :

La Provence a écrit :

Faute d'avoir pu/voulu lui fournir une doublure crédible, lors du mercato ou comme joker, l'OM ne pourra pas retomber sur ses pattes, avec Quentin Merlin. Rentré meurtri de sa pige chez les Espoirs, l'ex-Canari est espéré, au mieux, face à Angers, le 4 octobre. D'ici là, les dirigeants marseillais rumineront la gestion, jugée "irrespectueuse", de cet élément essentiel au système De Zerbi. L'Olympique l'a d'ailleurs bien fait savoir au staff de Gérald Baticle, sélectionneur des Bleuets, qui a forcé le joueur à enchaîner en invoquant une simple béquille quand Merlin, inquiet, se plaignait de sa cuisse. "En réalité, c'était tout sauf une béquille", peste-t-on en haut lieu.

Pour pallier son absence, Roberto De Zerbi n'a pas pléthore de solutions. La plus évidente mène à Amir Murillo, déjà sollicité dans le couloir gauche contre l'OGC Nice. Pol Lirola pourrait, aussi, être relancé comme à Brest... ce qui laisserait le Panaméen à son poste de prédilection et éviterait de brusquer la montée en régime d'un Valentin Rongier pas vraiment emballé par ce rôle de latéral (droit) hybride.

Ca va si son retour est espéré le 04 octobre, j'avais peur que ça soit plus grave.

Quant à Rongier, il va falloir s'y habitué à son rôle d'ARD hybride car le tandem Rabiot/Hojbjerg c'est 2 crans au dessus. Mais aucun doute sur sa bonne mentalité et son profesionnalisme.

La solution Garcia n'est pas proposée, j'ai pas peur de dire qu'il serait titulaire dans la moitié des clubs de L1 le Suisse.

brunoblanzat a écrit :

Merlin a repris la course

karimattab1 a écrit :

Quentin merlin a repris la course

Dernière modification par chuuwah (03-Oct-24 12:54)

Quentin Merlin pourrait faire son retour sur les terrains pour OM - PSG ! 👀🇫🇷

Le latéral n’a toujours pas repris les séances collectives, sa réintégration est prévue à la semaine prochaine si les tests sont positifs. 🔋@laprovence

La Provence a écrit :

Publié le 10/10/24 à 08:14
OM. Le retour de Quentin Merlin n'est pas pour demain

Par Tristan RAPAUD



L'absence du latéral formé à Nantes n'explique pas à elle seule le coup de mou de l'OM, mais elle contrarie les plans de Roberto De Zerbi dont il était devenu un élément clé du dispositif.
Photo Frédéric Speich

Sur le flanc depuis la précédente trêve internationale, le latéral hybride, blessé à la cuisse droite, manque cruellement au collectif olympien. Le club ne voulant prendre aucun risque, son absence pourrait être un peu plus longue que prévu.

Sa seule absence ne justifie ni le piteux nul concédé au Vel', face à la lanterne rouge angevine (1-1), ni le cuisant revers strasbourgeois (1-0), mais il explique, en partie, le coup de pompe de l'Olympique de "Roby". Un OM qui sème de précieux points en route, et dont la mécanique, si chère à Roberto De Zerbi, se grippe. Un collectif nettement moins emballant et autrement plus prévisible depuis que l'automne a balayé l'été. Depuis, aussi, que Quentin Merlin a rejoint l'infirmerie. Avant que le staff des Espoirs, guère prévenant, ne le coupe dans son élan, l'ancien Nantais s'était révélé sous la tunique immaculée.

À défaut d'être un intraitable défenseur, le patron du milieu, ou un buteur en série, le latéral, désormais (très) hybride, était dans tous les bons coups, celui qui faisait marquer (1 passe décisive en 3 apparitions), mettait de l'huile dans les rouages et bonifiait les siens. "C'est vraiment une surprise. Je savais que c'était un joueur fort, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il ait un si grand impact sur nos matches, saluait "RDZ" avant d'en être privé de trop longues semaines. Je ne cherche pas d'alibi. On a perdu récemment un joueur très important pour notre collectif. Sur le plan individuel, Luis Henrique souffre également de son absence."

De retour contre Paris ?

À l'image de son chef d'orchestre, le Brésilien a hâte de renouer avec son partenaire préféré. Même si, sans lui, il a inscrit un but sensationnel contre Nice et rendu de fiers services (défensifs) à Lyon, l'ex de Botafogo n'a jamais été aussi rayonnant qu'en août, lorsqu'il combinait les yeux fermés avec un Merlin se muant, à ses côtés, en ailier. Plus haut sur le terrain, parfois dans le cœur du jeu où il a été formé à la Jonelière, le Bleuet jouait sur ses qualités. Technique et vista. Le parfait couteau suisse. Problème, quand sa lame est émoussée, De Zerbi n'a pas de rechange dans ses tiroirs.

Alors, si d'autres s'amusent à l'abîmer, c'est le drame. En le confiant à l'équipe de France espoirs, début septembre, l'OM n'imaginait pas le récupérer en petits morceaux. Encore moins à cause d'un excès de zèle du sélectionneur Gérald Baticle, et ses adjoints, qui l'ont vivement encouragé à disputer deux rencontres jusqu'à leur terme... alors que Quentin Merlin se plaignait de sa cuisse droite. En Provence, la "simple béquille" diagnostiquée par l'encadrement des Bleuets ressemblait à une lésion musculaire. Plutôt sérieuse. Dans un premier temps, les dirigeants olympiens estimaient sa convalescence à "trois ou quatre semaines", imaginant le revoir, au mieux, contre Angers.

Un mois plus tard, où en est l'intéressé ? Mercredi, sur les hauteurs de La Commanderie, Quentin Merlin n'avait toujours pas renoué avec les séances collectives. En marge du groupe de Roberto De Zerbi, il poursuit sa réathlétisation et grimpe en intensité. S'il répond favorablement aux prochains tests, l'OM prévoit de le réintégrer aux entraînements la semaine prochaine. Mais personne n'ose vraiment s'avancer sur son retour à la compétition. Le déplacement à Montpellier (20 octobre) arrive vite. Peut-être trop pour le voir grappiller quelques minutes dans l'Hérault ? Sa reprise (avec parcimonie) aurait donc pour théâtre le Clasico (27 octobre).

"Il bosse bien, ça avance dans le bon sens, mais on doit aussi faire attention à son ressenti, voir au jour le jour, ne rien brusquer, tempère un proche du vestiaire. Pour l'instant, il n'y a pas le feu au lac." La prudence règne, comme la crainte d'une rechute. D'autant plus depuis qu'un honnête (et inattendu) remplaçant, Ulisses Garcia pour ne pas le nommer, est sorti du placard.

Dernière modification par chuuwah (10-Oct-24 11:06)

RMC Sport a écrit :

Il a joué le premier match (contre la Slovénie) et a fini avec un bandage au-dessus du genou après avoir pris un double coup sur le bas du quadriceps. Il a eu des soins le lendemain, une reprise très légère le surlendemain, et la veille de match (contre la Bosnie) il a fait une séance totale. On a échangé avec le docteur et avec lui. Il était à 100% de ses moyens et il a donc joué

Il est sorti en fin de match non pas à cause d’un problème mais parce qu’on menait 2-0. Il a fait un beau rassemblement. Il y a eu un problème de coup à un moment donné mais on n’a pas décelé de blessure qu’on aurait pu soigner. L’intégrité des joueurs est toujours la priorité, on aime les récupérer et les rendre en forme. Le voir sur le côté est handicapant pour Marseille et pour nous

Quoi qu'il arrive, c'est le docteur qui donne le feu vert ou non. Donc c'est le docteur de la sélection qui a fait une connerie.

Dav8 a écrit :

chuuwah a écrit :

RMC Sport a écrit :

https://cf-images.eu-west-1.prod.boltdn … /image.jpg

Il a joué le premier match (contre la Slovénie) et a fini avec un bandage au-dessus du genou après avoir pris un double coup sur le bas du quadriceps. Il a eu des soins le lendemain, une reprise très légère le surlendemain, et la veille de match (contre la Bosnie) il a fait une séance totale. On a échangé avec le docteur et avec lui. Il était à 100% de ses moyens et il a donc joué

Quoi qu'il arrive, c'est le docteur qui donne le feu vert ou non. Donc c'est le docteur de la sélection qui a fait une connerie.

C'est pas si simple
Le joueur se dit apte, ne ressent pas/plus de douleur, joue quasi 90 min sans se plaindre de gène ou autre...
Le médecin se base forcement sur le ressenti du joueur, ses sensations..., il ne fait pas passer une IRM à tout le monde, chaque jour, à chaque "bobo" 

Bah, ça fait cher la mauvaise interprétation du docteur.

chuuwah a écrit :

Dav8 a écrit :

chuuwah a écrit :

Quoi qu'il arrive, c'est le docteur qui donne le feu vert ou non. Donc c'est le docteur de la sélection qui a fait une connerie.

C'est pas si simple
Le joueur se dit apte, ne ressent pas/plus de douleur, joue quasi 90 min sans se plaindre de gène ou autre...
Le médecin se base forcement sur le ressenti du joueur, ses sensations..., il ne fait pas passer une IRM à tout le monde, chaque jour, à chaque "bobo" 

Bah, ça fait cher la mauvaise interprétation du docteur.

Quand tu vois ce qu'il s'est passé pour Rongier, c'est sur que les médecins sont pas infaillibles.