OM

Just Blaaaaze a écrit :

Honnêtement à 15€ j'allais foncer sur l'offre, puis je me suis raisonné. Entre l'inconstance de l'équipe à domicile qui je crains va durer toute la saison, le plaisir de voir certains matchs au bar comme l'inoubliable match contre Lyon, les deux trois sites de stream que j'ai sous la main qui marchent plutôt bien, le fair de payer trois mois pour rien pour aucun autre programme qui m'intéresse sur cette chaîne à part l'OM, et la piètre qualité de DAZN à tous les niveaux : je continue de boycotter. A 15€ SANS engagement je craquerai peut etre mais ça n'arrivera peut être jamais.

Pareil, j'hésite mais ces 3 mois sans foot où tu continues de payer vont m'aider a faire mon choix je crois ...
En gros, ca revient a 20 euros par mois, soit 3 pintes

Petite parenthèse Acherchour je peux pas le sentir. Le niveau d'analyse c'est zéro et en plus il massacre le français quand il parle.

Je me souviens pas d'un mec à la TV ou a la radio s'exprimant aussi mal depuis Luis Fernandez.

Exemple à l'instant Akliouche doit être le dépositaire de Monaco.

Dernière modification par om22 (01-Dec-24 23:15)

𝗗𝗔𝗭𝗡 𝗔 𝗧𝗥𝗢𝗨𝗩𝗘́ 𝗨𝗡 𝗔𝗖𝗖𝗢𝗥𝗗 𝗔𝗩𝗘𝗖 𝗟𝗔 𝗙𝗜𝗙𝗔 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗗𝗜𝗙𝗙𝗨𝗦𝗘𝗥 𝗟𝗔 𝗖𝗢𝗨𝗣𝗘 𝗗𝗨 𝗠𝗢𝗡𝗗𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗖𝗟𝗨𝗕𝗦 𝟮𝟬𝟮𝟱 ! 🌎

Il s’agit d’un deal mondial qui se chiffrerait à 1 milliard d’euros. 😳💰

🗞️ @RMCsport

C'est des marchands de tapis ! ils ne savent plus quoi inventer pour prendre de la monnaie, ils sont dégoutants, ils tuent l'intérêt du foot ces jobards !

archibg a écrit :

yassa13 a écrit :

𝗗𝗔𝗭𝗡 𝗔 𝗧𝗥𝗢𝗨𝗩𝗘́ 𝗨𝗡 𝗔𝗖𝗖𝗢𝗥𝗗 𝗔𝗩𝗘𝗖 𝗟𝗔 𝗙𝗜𝗙𝗔 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗗𝗜𝗙𝗙𝗨𝗦𝗘𝗥 𝗟𝗔 𝗖𝗢𝗨𝗣𝗘 𝗗𝗨 𝗠𝗢𝗡𝗗𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗖𝗟𝗨𝗕𝗦 𝟮𝟬𝟮𝟱 ! 🌎

Il s’agit d’un deal mondial qui se chiffrerait à 1 milliard d’euros. 😳💰

🗞️ @RMCsport

Ah ouais, là pour le coup, pour cette compétition à la noix, ils ont pas hésité à aligner les biftons...

De ce que j'ai compris ce sont des droits internationaux, non ?

Si on compare à l'échelle de la L1, ce sont des droits nationaux.

Je viens de voir un article qui a l'air intéressant sur lequipe :
https://www.lequipe.fr/Football/Article … fp/1524725

Est-ce quelqu'un aurait la version complète sous la main ?

En vous remerciant.

Tyler a écrit :

Je viens de voir un article qui a l'air intéressant sur lequipe :
https://www.lequipe.fr/Football/Article … fp/1524725

Est-ce quelqu'un aurait la version complète sous la main ?

En vous remerciant.

« Vous m'avez parlé d'une dizaine de joueurs sur lesquels j'aurais donné mon avis, eh bien je peux vous en citer une quinzaine de plus. Et alors ? C'est quand même incroyable ! » En habile provocateur et maître des mots qu'il est, Vincent Labrune se justifiait de la sorte, dans nos colonnes, le 21 novembre 2017, au détour d'un dossier sur sa nouvelle vie, un an et demi après son départ forcé de l'OM.

Bon nombre d'acteurs du foot français s'irritaient alors de voir l'ancien patron phocéen s'immiscer, dans l'ombre, sur de multiples dossiers du marché des transferts, en ligne directe avec les présidents de clubs. De Saint-Étienne à Caen, en passant par Nantes, Amiens ou encore Guingamp. Mais il jurait haut et fort : « Je ne suis pas agent, je n'ai jamais voulu être agent et je ne le serai jamais. »


Son ami Jean-François Fortin, ex-boss de Caen, parlait d'un « facilitateur ». Des conseils ordinaires entre copains, à la volée, de façon totalement gratuite et désintéressée, en somme. « Vincent, c'est un pote avant tout, développait Bernard Caïazzo, alors président du conseil de surveillance de l'AS Saint-Étienne, quelques mois plus tôt. On va discuter sur tel ou tel joueur. (...) Parce qu'il représente un avantage : il possède une très bonne connaissance du marché européen et il est bien avec tous les présidents de club. »

Caïazzo n'est pas le moins bien placé pour en témoigner. Car, sept ans plus tard, des éléments inédits mis au jour par L'Équipe démontrent que Labrune ne jouait pas uniquement auprès des clubs le simple rôle de donneur d'avis décrit, notamment du côté de l'ASSE et d'Amiens. Selon nos informations, entre 2017 et 2019, ce dernier apparaît dans au moins une dizaine d'échanges internes au sujet de recrutement. En copie, comme destinataire mais aussi en tant qu'expéditeur.

L'essentiel de ses activités stéphanoises, d'abord, s'est concentré à l'été 2017. À l'époque, des conversations tournent autour de trois hommes : Labrune, Caïazzo et l'agent Meïssa Ndiaye, avec qui le premier a beaucoup collaboré à sa période marseillaise. Labrune utilise son adresse professionnelle et Caïazzo la messagerie du club.

« Nous avons été sollicités par un club allemand qui recherche un défenseur central en prêt »

Vincent Labrune à Bernard Caïazzo, alors président de Saint-Étienne, le 17 août 2017
Le 17 juillet, Caïazzo écrit à Ndiaye pour se renseigner sur les « conditions financières » d'une éventuelle arrivée du Caennais Yann Karamoh et soumet une répartition des échéances de paiement. Labrune est en copie de l'envoi, comme de la réponse de l'agent, qui précise les montants attendus. L'échange et la négociation se poursuivent le lendemain, avec l'option d'intégrer Kevin Monnet-Paquet dans la balance, sans succès.

Ce n'est que partie remise. Un mois plus tard, le 17 août, c'est Labrune en personne qui revient à la charge, toujours à destination de Caïazzo et avec une intrigante utilisation de la première personne du pluriel, sous-entendant une oeuvre collective avec Ndiaye : « Nous avons été sollicités par un club allemand qui recherche un défenseur central en prêt + OA (option d'achat). Nous leur avons suggéré Léo Lacroix. 1) Est-ce qu'un prêt de votre joueur est envisageable ? 2) Si oui, quelles sont les conditions ? 3) Si oui, il faudra rémunérer l'agent qui amène le deal (je pense sur le loan free et sur économie salariale). Donne-moi des nouvelles asap et transfère les infos à Roland (Romeyer, président du directoire). »

Vincent Labrune (à gauche) et Bernard Caïazzo en mars 2012 lors d'une rencontre entre présidents de clubs de L1 organisée dans les locaux de L'Équipe. (Martin/L'Equipe)
Vincent Labrune (à gauche) et Bernard Caïazzo en mars 2012 lors d'une rencontre entre présidents de clubs de L1 organisée dans les locaux de L'Équipe. (Martin/L'Equipe)
Le 30 août, à la veille de la clôture du mercato, Labrune est de nouveau à l'initiative et pousse pour la venue du Guingampais Yannis Salibur plutôt que du Marseillais Rémy Cabella. « En l'état actuel du marché, et à date, écrit Labrune, on pourrait trouver un deal sur les bases suivantes, d'après-moi :

Transfert : 8 M€

Conditions de paiement :

saison 2017-2018 = zéro €

- 15-7-18 = 2 M€

- 15-7-19 = 4 M€

- 15-7-20 = 2 M€

Bonus : 10 % au premier euro ; 0,250 M€ par qualif Europa League sur la durée du contrat (plafonné à 0,5 M€), et ce, de façon à lui permettre d'avoir un deal aux environs de 10 M bonus inclus. »

Puis Labrune explique à Caïazzo : « L'énorme avantage de cet accord serait : 1) Que vous auriez un super joueur pour zéro cette année ; et pour 2 M€ sur les 2 prochaines saisons. 2) Dans la stratégie de trading qui est la vôtre, vous pourriez revendre le joueur dans deux ans sans l'avoir payé et avec plus-value. 3) Vous pourriez ainsi avoir le bénéfice d'une revente en 2019 tout en maintenant les échéances de paiement négociées au départ si vous le souhaitez. Ou anticiper le remboursement des échéances avec le fruit de la vente. Comme je présume que le salaire du joueur est très abordable, le coût de cette opération serait faible sur l'exercice (à comparer avec celui de Cabella par exemple) tout en étant propriétaire du joueur ! » Nouvel échec.

« On a le droit d'aider un ami qui est bloqué dans un dossier »

Vincent Labrune en 2017 dans « L'Équipe »
Contacté, Vincent Labrune ne nous a pas répondu sur ce point précis. Déjà interrogé en 2017, il se défendait dans nos colonnes d'être le « conseiller de présidents de club en matière de recrutement ». « On a le droit d'aider un ami qui est bloqué dans un dossier, précisait-il. Je suis au confluent de plusieurs informations, comme dans l'histoire du Guingampais Salibur. J'ai le droit d'être créatif ! »


Créatif et surtout hyperactif, comme le prouve cet énième échange en date du 13 juillet 2017. Ndiaye s'adresse à Labrune, Caïazzo et Romeyer en des termes très explicites : « Bonjour Roland. Suite aux conversations entre Vincent et Bernard, peux-tu me transmettre un mandat officiel au nom de la société FTC (Football Trading Company) dont je suis le président. » Et de détailler : « Ce mandat autorise la société FTC à négocier avec le club du FC Lorient aux conditions suivantes :

- pour la vente du joueur Majeed Waris à hauteur de 6 000 000 €, incluant la cession définitive des joueurs Nolan Roux et Fabien Lemoine à hauteur de 2 000 000 €, le forfait alloué à la société FTC s'élèvera à 600 000 € ;

- pour la vente du joueur Majeed Waris à hauteur de 8 000 000 €, incluant la cession définitive des joueurs Nolan Roux et Fabien Lemoine, le forfait alloué à la société FTC s'élèvera à 600 000 € ;

- dans le cas d'une vente des joueurs Nolan Roux et Fabien Lemoine pour un montant minimum de 2 000 000 €, le forfait alloué à la société FTC s'élèvera à 10 % du prix de vente ;

- dans le cas d'une vente des joueurs Nolan Roux et Fabien Lemoine pour un montant inférieur à 2 000 000 €, le forfait alloué à la société FTC s'élèvera à 5 % du prix de vente. Le montant minimum pour la vente de ces deux joueurs s'élève à 1 500 000 € ;

- dans le cas d'une vente de Fabien Lemoine au montant minimum de 1 000 000 €, le forfait alloué à la société FTC s'élèvera à 5 %. »

Lemoine a bien quitté Saint-Étienne pour Lorient à l'été 2017, contre environ 1 million d'euros. Mais Caïazzo assure que Ndiaye n'est pas intervenu : « Il n'y a pas eu de mandat d'agent avec Ndiaye, hormis pour sortir (Yann) M'Vila (arrivé en 2018) », confie-t-il. L'ex-président ajoute : « En ce qui me concerne, je n'ai jamais rencontré Ndiaye pour l'ASSE. Et je ne me suis jamais mêlé de ce sujet de recrutement qui était de la responsabilité du directoire, sauf quand on m'a demandé mon aide, comme pour l'arrivée de (Stéphane) Ruffier (en 2011 en provenance de Monaco). »

Interrogé il y a sept ans sur sa proximité avec Labrune, Ndiaye assurait : « Je peux comprendre les fantasmes, mais il y a des faits. Je n'ai besoin pour travailler que de mes joueurs et du réseau international que j'ai constitué en une dizaine d'années d'activité. » Football Trading Company, évoqué dans le mail précité, était la société de Ndiaye dédiée à l'intermédiation entre clubs. Celle-ci a été ouverte en juin 2017 et radiée en mars 2023, faute de chiffre d'affaires, l'agent ayant décidé de regrouper toute son activité dans son autre entreprise, Sport Cover.

Très impliqué dans le transfert de Ndombele d'Amiens à Lyon
Selon des documents consultés par L'Équipe, une seule opération a été enregistrée en comptabilité pour l'année 2017 et correspond au départ de Benjamin Lecomte de Lorient vers Montpellier. Aucun flux financier n'existe entre FTC et Vincent Labrune cette année-là. Plus tard, courant 2019, Ndiaye et Labrune ont créé une kyrielle de sociétés de gestion de droits à l'image (Digicover, Tidwell, Touché...) qui n'ont pas prospéré, d'après le second.

Avec son réseau et son bagout, l'électron libre Labrune avait accès à un niveau d'informations précieux dans le milieu et s'en est servi pour devenir un maillon essentiel. Malgré de vives intentions et quelques réussites, à Nantes par exemple, la grande majorité des deals qu'il a relayés n'a pas abouti. Il n'était pas question, répétait-il à l'époque, d'enfiler le costume de « conseiller occulte » ni de verser dans le « mélange des genres ».


Or, plusieurs sources proches des dossiers concernés ont ressenti une « ingérence » de sa part, parfois au point de court-circuiter les cellules de recrutement internes aux clubs et les représentants des joueurs. « Il sait très bien rentrer dans la tête des décideurs et s'affranchir du reste pour aller dans ses propres intérêts », peste un intermédiaire encore marqué. Ce fut le cas à Amiens lors du même été 2017, quand Labrune a offert ses services au président Bernard Joannin afin de booster la vente de Tanguy Ndombele. « À Amiens, celui qui gère ce dossier (le recrutement), c'est John Williams (directeur sportif). Et il a fait ses preuves. Il n'a besoin de personne », évacuait Labrune en 2017.

Pourtant, selon nos informations, l'adepte du « brainstorming » a bien pris la plume pour disserter longuement sur le potentiel sportif et économique du joueur et convaincre le conseil d'administration amiénois de parapher un mandat avec l'agence de Ndiaye, dont le rôle était seulement mentionné en aparté. Hoffenheim, qui n'avait pas la préférence du joueur, proposait alors 12 millions d'euros et Labrune réfléchissait plutôt à une formule alternative, se servant de l'offre allemande pour démarcher des clubs français (l'ASSE, notamment), anglais ou italien. Tout en indiquant lui-même que la rémunération de l'agent serait de l'ordre de 8 % du transfert, soit près d'un million d'euros (à ponctionner sur l'indemnité). Ndombele rejoindra finalement Lyon et aura rapporté une vingtaine de millions d'euros à Amiens, tous bonus compris.

Bernard Joannin est le président de l'Amiens SC depuis 2009. (J.Prevost/L'Equipe)
Bernard Joannin est le président de l'Amiens SC depuis 2009. (J.Prevost/L'Equipe)
D'après le code du sport, l'activité d'agent consiste à « mettre en rapport des parties intéressées à la conclusion d'un contrat », contre rémunération. Labrune n'a jamais détenu la licence nécessaire à l'exercice en France mais a toujours assuré qu'il avait oeuvré bénévolement. VLB Communication, sa boîte de conseil, qui a généré un résultat net de 1,74 million d'euros en 2020, ne dépose pas ses comptes ou les assortit d'une déclaration de confidentialité, comme nous l'ont confirmé les greffes des tribunaux de commerce de Paris et de Tarascon. Les statuts de la société n'ont été changés qu'en 2019. Alors qu'elle n'avait pour objet que le « conseil en communication » et « toute activité liée à la production audiovisuelle », il y a ajouté « toutes activités liées au conseil d'affaire et de gestion ».

Ce n'est pas un détail anodin dans la mesure où plusieurs sources font état de contrats de consulting, y compris hors mercato, conclus entre VLB Communication et plusieurs dirigeants de club, via leurs sociétés personnelles. Selon nos informations, ce serait par exemple le cas avec Intersport, un ancien sponsor de l'OM, dont le plus gros sociétaire n'est autre que Bernard Joannin, le président d'Amiens, qui n'a pas donné suite. En 2018, dans le Courrier Picard, il reconnaissait être conseillé par Labrune, sans entrer dans les détails de la collaboration. « Vincent fait partie d'un groupe de personnes qui ont de l'expérience et que j'écoute », déclarait-il.

Payé ou non, il demeure que Labrune avait été élu en novembre 2016 en tant que membre indépendant au conseil d'administration de la LFP, quatre ans avant de ravir la présidence dans un coup de poker dont il a le secret et avec l'appui de ses amis présidents. Les statuts de la Ligue indiquent que « peuvent seules siéger à titre de membres indépendants (...) les personnes qui n'ont aucun intérêt direct ou indirect dans un club membre de la LFP », en référence aux liens capitalistiques, ce qui n'est pas son cas.

Siégeaient, dès fin 2016, au CA de la Ligue Caïazzo, alors président du syndicat Première Ligue, Fortin ou encore Bertrand Desplat (Guingamp). Autant de dirigeants étroitement liés par la suite au membre indépendant Labrune sur le mercato. Le fil reste ténu, et, tel un équilibriste chevronné, ce dernier a joué avec les mots, jonglé avec les règles et flirté avec les lignes rouges. Sans que personne n'ait rien trouvé à redire.

lucianoo a écrit :

chuuwah a écrit :

https://pbs.twimg.com/media/GeDft8wXsAE … ;name=orig

ben qu'ils se barrent, rien à foutre pour ma part 

Ceux qui devraient se barrer c'est plutôt l'Arcom. Un organisme qui rétablit la police de la pensée, sanctionne la liberté d'expression, et surtout très politisé. Effrayant. 

Pytheas83bm a écrit :

Docom a écrit :

lucianoo a écrit :

ben qu'ils se barrent, rien à foutre pour ma part 

Ceux qui devraient se barrer c'est plutôt l'Arcom. Un organisme qui rétablit la police de la pensée, sanctionne la liberté d'expression, et surtout très politisé. Effrayant. 

qu'on fasse ièch bolloré moi ça me va.
je suppose que sont reprochés les dérapages de hanouna et ça me va aussi.
en plus je n'ai pas la tnt, je ne suis pas client chez canal et je ne suis pas près de l'être.

C'est exactement ça que je dénonce dans la liberté d'expression.
On s'en tape que tu t'en foutes, tout le monde doit pouvoir s'exprimer.
Est-ce qu'on supprime les radios et les chaines qui penchent fortement à gauche ? Non, et je ne veux pas qu'elles disparaissent. Il en faut pour tout le monde.
Ce pays dérive gravement d'une façon glaçante.