OM

Bienvenue à lui.

Par contre je regrette Ravanelli et Papin au sein du club. Ça me faisait plaisir de les savoir au club.

Mais peut-être n'étaient ils là que pour faire justement plaisir aux supporters, sans réellement apporter de plus-value sportive.

Dernière modification par MJ13 (04-Nov-25 08:59)

MJ13 a écrit :

Bienvenue à lui.

Par contre je regrette Ravanelli et Papin au sein du club. Ça me faisait plaisir de les savoir au club.

Mais peut-être n'étaient ils là que pour faire justement plaisir aux supporters, sans réellement apporter de plus-value sportive.

Ravanelli a quitté le club ?

Prendergast a écrit :

Balzaretti avec Mehdi, on a le top en terme de mode

Il a une classe Balzaretti, popopopo
Toujours adoré ce mec, sur les terrains et en dehors

Quel travail de l'ombre de l'AS

GoraPizzHerria a écrit :

efulan a écrit :

MJ13 a écrit :

Bienvenue à lui.

Par contre je regrette Ravanelli et Papin au sein du club. Ça me faisait plaisir de les savoir au club.

Mais peut-être n'étaient ils là que pour faire justement plaisir aux supporters, sans réellement apporter de plus-value sportive.

Ravanelli a quitté le club ?

Non, mais je ne serais pas surpris que cela arrive dans un futur proche.

Tous les anciens qui ont marqué le club ne devraient pas être baladés de cette façon. Je pense à Boli, mais lui il est toujours présent, à Papin et Ravanelli etc, etc...

lequipe.fr a écrit :

« Jovial, compétent, rassurant »... Comment Pancho Abardonado est devenu l'incontournable adjoint de tous les entraîneurs qui se succèdent à l'OM

Passé du centre de formation en 2016 aux pros sous Jorge Sampaoli en mars 2021, l'ancien joueur de l'OM et de l'OGC Nice, Pancho Abardonado, est de tous les staffs depuis, figure du bâtiment sportif, fil rouge de l'intense feuilleton olympien.

Mathieu Grégoire

Il n'est pas encore 15 heures ce vendredi et Pancho Abardonado pénètre sur le terrain d'entraînement, des chasubles jaunes à la main. Le gros de la troupe olympienne se fait attendre pour l'échauffement, alors l'ancien minot va taquiner Darryl Bakola, se tapotant le ventre et étirant la bouche quand il parle, tel un vieux père du quartier. Il échange ensuite avec un préparateur physique puis retrouve Andrea Maldera, l'adjoint qui supervise avec lui les coups de pied arrêtés, et ça rigolera encore pendant une poignée de minutes. À la Commanderie, Pancho est chez lui, il fait partie des murs, et plutôt des murs porteurs, ceux qui résistent aux révolutions, à la valse des effectifs et des staffs.

À 47 ans, il est le point commun entre Jorge Sampaoli, Igor Tudor, Marcelino, Gennaro Gattuso, Jean-Louis Gasset et Roberto De Zerbi. En mars 2021, en débarquant au centre d'entraînement, "Sampa" a rencontré d'entrée Laurent Spinosi, entraîneur des gardiens, et Abardonado, alors au centre de formation depuis 2016. Le contact passe, tout de suite, aidé par sa maîtrise de la langue hispanique, et l'Argentin le fait monter chez les pros. « Pancho est quelqu'un de jovial, pas clivant pour un sou. Si tu interroges les gens qui le côtoient, 99 % te diront que c'est un bon mec, confie un proche. Il rassure, il est un animal s'adaptant à toutes les saisons et tous les terrains. Et il a toujours créé du lien. Déjà, joueur, il prenait le temps de prendre des nouvelles, d'appeler les anciens collègues. »

« Pancho a la fibre marseillaise, mais il a aussi les compétences. C'est un vrai coach »
Nicolas Girard, qui fut adjoint de Jean-Louis Gasset

Originaire de la Castellane, l'ancien défenseur à la chevelure longue, parfois rugueux sur le terrain, offrait déjà le visage d'un camarade agréable en privé, et faisait les 400 coups avec son grand copain de l'OGC Nice, Sammy Traoré. À l'OM, il continue de mettre du liant. « Dans tous les staffs dans lesquels il a été, ça s'est très bien passé et, à chaque fois, il est recommandé au staff suivant. Quand Jean-Louis est arrivé en février 2024, il a tout de suite voulu travailler avec lui parce que Pancho connaissait parfaitement le contexte marseillais et, sur une mission aussi courte, c'était précieux, se rappelle Nicolas Girard, adjoint de Gasset, qui s'était coltiné Abardonado sur la pelouse d'Endoume lors de leur jeunesse. Pancho a la fibre marseillaise, mais il a aussi les compétences. C'est un vrai coach, il se nourrit de toutes ses expériences pour progresser, apprendre des footballs différents. Il se construit au jour le jour, il passe d'ailleurs ses diplômes en même temps. »

Girard poursuit : « Sous Jean-Louis, il était chargé des coups de pied arrêtés offensifs et défensifs ; ainsi que de l'analyse de l'adversaire. Il avait carte blanche pour les présentations. Il a un très bon feeling avec les joueurs, ce qui ne l'empêche pas de leur dire ce qu'il pense. » Un ancien cadre de l'OM témoigne : « Pancho, il n'est pas juste là pour poser les plots. Il parle espagnol, c'est vrai, mais il parle surtout football. Il connaît le jeu, les joueurs, les vestiaires. Il a su trouver sa place et la garder à partir du moment où il a posé un pied dans le groupe. »

À terme, il se destine à devenir entraîneur principal

À son arrivée en juillet 2024, De Zerbi lui a confié la responsabilité des coups de pied arrêtés offensifs et défensifs. Une fois le montage réalisé par la cellule vidéo, à la suite de ses recommandations, il assure la présentation au groupe. Il met en place les schémas sur corner, indique aux joueurs qui doit marquer quel adversaire. Il a une vraie liberté dans ce domaine, même si Maldera n'est jamais très loin.

Abardonado est aussi un adjoint à tout faire, il prend chaque tâche à fond, qu'il soit à l'écart avec les lofteurs à passer toute une séance à échanger des passes avec Ulisses Garcia, Pol Lirola et Neal Maupay, comme en début de saison, ou qu'il anime seul un atelier de finition devant le but avec les quelques attaquants, tel Robinio Vaz, plus récemment.

Parfois considéré comme la caution marseillaise des staffs successifs, Abardonado ne s'offusque pas des raccourcis, ni de son statut d'énième adjoint dans l'aréopage de De Zerbi, qui compte une vingtaine de membres. Basé à Carry-le-Rouet, sur la Côte bleue, il profite de chaque instant dans son club de coeur.

« Au fond de lui, il aspire à se lancer comme n° 1, et il tentera de décrocher une L2 ou une équipe de National quand l'aventure marseillaise s'arrêtera, confie un de ses bons amis. En attendant, il vit sa meilleure vie, dans un cadre de rêve. Et le départ de Marcelino l'a même propulsé en coach principal de l'OM ! » Deux matches d'intérim, en septembre 2023 (3-3 à Amsterdam, 0-4 à Paris), une innovation tactique au Parc des Princes avec trois centraux, des causeries préparées... Abardonado avait pris son rôle très au sérieux. Il y avait les chasubles jaunes, le sifflet, le tableau et les Velleda, mais, surtout, il était prêt.

Probablement le 1er "recrutement" impulsé par Balzaretti.

Bienvenue au "natif de Pieve di Cadore"  ces journalistes ... on le voit d'ailleurs souvent sur FM ... comme si on connaissait le lieu de naissance de tout le monde ...

Sérieux, bienvenue Federico  ! Eclate toi et ton plaisir sera le nôtre  !