OM

Il faut pas qu'il s'habitue à trop parler celui là sinon ça va mal aller.

Kader Johnson a écrit :

on se dirigerait vers un 4-2-3-1 avec valbu en 10 et brandao en pointe...

Kader Johnson a écrit :

on se dirigerait vers un 4-2-3-1 avec valbu en 10 et brandao en pointe...

Roquevaire a écrit :

Sat l'artificier a écrit :

Kader Johnson a écrit :

on se dirigerait vers un 4-2-3-1 avec valbu en 10 et brandao en pointe...

Je ne comprends pas, qui saute au milieu : Cheyrou ?

Ben tout le monde, ce serait pas mal. Plus facile pour gagner les duels aériens.

Dernière modification par Sat l'artificier (23-Nov-10 15:49)

Roquevaire a écrit :

Sat l'artificier a écrit :

Kader Johnson a écrit :

on se dirigerait vers un 4-2-3-1 avec valbu en 10 et brandao en pointe...

Je ne comprends pas, qui saute au milieu : Cheyrou ?

oui, peut être un peu juste physiquement

Roquevaire a écrit :

Sat l'artificier a écrit :

Roquevaire a écrit :

Je ne comprends pas, qui saute au milieu : Cheyrou ?

Ben tout le monde, ce serait pas mal. Plus facile de gagner les duels aériens.

Whaou, ça te réussit pas le stress des grands rendez-vous

Désolé. 

Roquevaire a écrit :

Je ne comprends pas, qui saute au milieu : Cheyrou ?

Tous les marseillais... car on sait bien que qui saute pas n'est pas mar-sei-llais hè

Magic Waddle 78 a écrit :

Merde j'ai été devancé par sat sur une blague... la honte... je me retire de suite de ce forum

enfin 

kouid a écrit :

Ca donnerais ca:
https://www.footmarseille.com/services/g … m69whznyrv
En gros ce qu'avait dit Baup hier dans les specialistes.

C'est pas mal, mais gros taf défensif à prévoir pour Rémy et Ayew, sinon on va se faire bouffer dans les couloirs !

un bel article sur l'histoire du spartak

Spartak Moscou, le club du peuple

Samedi dernier, le Spartak Moscou, adversaire de l'Olympique de Marseille, mardi en Ligue des champions, s’est incliné dans le grand derby contre le CSKA Moscou en prenant trois buts à onze contre dix en seconde période. Cette défaite 3-1, sonne le glas des espoirs des hommes de Karpin d’accompagner le Zénith pour la prochaine Ligue des Champions. Il faut dire qu’en dépit du rachat du club par Leonid Fedun, un milliardaire qui fait dans le pétrole, le Spartak se traine un peu ces derniers temps. Malgré quelques joueurs fameux passés par là ces dix dernières années (Vidic, Pavlyuchenko, Pogrebnyak etc.) la suprématie des années 1990 avec Romantsev sur le banc, et les gâchettes Titov, Beschastnykh et Tsymbalar, semble lointaine.

Alors que les rivaux du CSKA Moscou et du Zénith Saint Pétersbourg ont déjà gagné une Coupe d’Europe, le Spartak court toujours après une saison référence à l’échelle continentale. Le club peut toutefois s’appuyer sur son extraordinaire popularité auprès du peuple russe pour rebondir. Seul club moscovite sans lien historique avec l’appareil soviétique (le CSKA était le club de l’armée, le Lokomotiv celui des chemins de fer, le Dynamo celui de la police), le Spartak est considéré comme le club du peuple, fondé autour des syndicats agricoles et du visionnaire Nikolay Starostin, aidé par ses trois frères. Spartak, c’est un hommage à Spartacus, le gladiateur qui s’éleva contre l’Empire de Rome, tout un symbole.

1982, la tragédie niée par le régime

Peu apprécié par le régime, le club remporte pourtant ses premiers titres à la fin des années 1930. Envoyé au goulag, Starostin ne survivra que grâce à la popularité du Spartak, et ne devra sa réhabilitation en 1954 qu’à l’exécution de Beria, l’homme de main de Staline, qu’il a autrefois ridiculisé sur le terrain. Starostin est encore président du Spartak en octobre 1982 lorsque se produit l’une des pires catastrophes de l’histoire du football. A l’occasion d’un match de Coupe d’Europe contre les Hollandais du HFC Haarlem, une gigantesque bousculade a lieu alors que les Russes marquent un but dans les arrêts de jeu. Les spectateurs déjà partis veulent revenir mais se heurtent à la police, ainsi qu’aux spectateurs quittant le stade. Toutes les autres issues ont été fermées. La bousculade fait 340 morts au total.

Ce chiffre effroyable, les familles des victimes devront patienter sept ans et attendre la fin du communisme pour l’obtenir. Dans les heures et les jours qui suivent la tragédie, le pouvoir tente de masquer l’évidence, ne parle que de quelques blessés, fait disparaître les corps et menace les familles de représailles si elles parlent.  Aujourd’hui, une plaque discrète se trouve dans le tunnel du stade Luzhniki. Unis dans la douleur de cette expérience, les millions de sympathisants du Spartak en Russie et dans le monde commémorent religieusement le 20 octobre, comme Liverpool le 15 avril, date de la tragédie de Hillsborough en 1989.

Dernier club russe en 8e ? Le Lokomotiv, éliminé par Monaco

En 1989, Djano Ananidze n’était pas encore né. A 18 ans à peine, le jeune crack est déjà international géorgien et annoncé comme un futur grand. Couvé par Karpin, il représente l’avenir du Spartak, comme l’attaquant Aleksandr Kozlov, 17 ans à peine. Ils n’étaient pas nés non plus lors de la dernière grande performance du Spartak sur la scène européenne, une demi-finale de Coupe d’Europe des Clubs Champions lors de la saison 1990-1991, perdue contre… l’Olympique de Marseille. Les Marseillais s’étaient imposés 3-1 à Moscou avec des buts de Papin, Vercruysse et Abedi Pelé (qui a également marqué au retour), avant de s’incliner en finale contre l’Etoile Rouge de Belgrade. Tout Marseille prie pour qu’Abedi ait transmis ses pouvoirs à ses fils André et Jordan.

Si les Russes ne perdent pas mardi, ils se qualifieront très probablement pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Ils rejoindront ainsi au palmarès russe le CSKA Moscou, quart de finaliste l’an passé, et le Lokomotiv Moscou, huitième de finaliste en 2004, battu par l’AS Monaco de… Didier Deschamps. Un bon présage pour l’OM ? Réponse mardi soir.

Loïc TREGOURES
http://www.eurosport.fr/euro-visions_bl … full.shtml