OM

Pytheas83bm a écrit :

rasta70 a écrit :

Pytheas83bm a écrit :

je n'ai pas pu voir, désolé. j'ai coupé au coup de sifflet final.
tu me me dire ce qui a été dit précisément ?
la minorité se résumé à combien d'avis exprimés ?
mais des messages clairs, genre " de zerbi démission ".

renseignes toi

c'est facile comme réponse.
je me renseigne auprès de qui ?
si toi tu as vu des supporters du stade sortir du vélodrome en demandant la démission de de zerbi, il y en avait combien ?
quand je regarde dazn, les matchs s'arrêtent après quelques commentaires et un très court résumé, mais je n'ai jamais vu un vidéo trottoir à la sortie du stade.
si quelqu'un d'autre que toi a dazn et qu'il a suivi l’intégralité jusqu'à la fin de la diffusion, j'aimerais avoir son témoignage.

ce que tu fais c'est l'inversion de la charge de la preuve.

Je viens de tomber sur un article de la Provence.
Aucun supporter interrogé ne cite RDZ, ce sont les joueurs qui sont clairement visés : https://www.laprovence.com/article/om/2 … -olympiens

Pytheas83bm a écrit :

Sven a écrit :

Pytheas83bm a écrit :

c'est facile comme réponse.
je me renseigne auprès de qui ?
si toi tu as vu des supporters du stade sortir du vélodrome en demandant la démission de de zerbi, il y en avait combien ?
quand je regarde dazn, les matchs s'arrêtent après quelques commentaires et un très court résumé, mais je n'ai jamais vu un vidéo trottoir à la sortie du stade.
si quelqu'un d'autre que toi a dazn et qu'il a suivi l’intégralité jusqu'à la fin de la diffusion, j'aimerais avoir son témoignage.

ce que tu fais c'est l'inversion de la charge de la preuve.

Je viens de tomber sur un article de la Provence.
Aucun supporter interrogé ne cite RDZ, ce sont les joueurs qui sont clairement visés : https://www.laprovence.com/article/om/2 … -olympiens

bah, on va attendre un peu, tant rasta nous trouve des images de supporters qui demandent la démission de de zerbi à la sortie du stade puisqu'il les a vues.

"Je ne suis pas parti en mauvais termes avec l'OM, je remercie le club de m'avoir donné cette opportunité.
Pablo Longoria ? J'en garde de bons souvenirs, il est proche de ses joueurs. Je ne pourrai JAMAIS dire du mal de lui."

(
@Eurosport_FR
) #TeamOM

franckribery713 a écrit :

chris1004 a écrit :

"Je ne suis pas parti en mauvais termes avec l'OM, je remercie le club de m'avoir donné cette opportunité.
Pablo Longoria ? J'en garde de bons souvenirs, il est proche de ses joueurs. Je ne pourrai JAMAIS dire du mal de lui."

(
@Eurosport_FR
) #TeamOM

https://pbs.twimg.com/media/Gc7Po0IWQAA … me=900x900

C'est qui CB du coup ? C'est pas précisé.

bakambu.

corriere.it a écrit :

21 novembre 2024
Pablo Longoria, Marsiglia: «De Zerbi ha voluto un maxi-schermo per la tattica. Per prendere Rabiot abbiamo convinto la mamma»

Il presidente 38enne dell'Olympique Marsiglia, ex scout dell'Atalanta e dirigente della Juventus: «Da voi ho imparato tutto, guardo 7 partite al giorno»

Quando ero ragazzo avevo capito che le mie gambe non mi avrebbero garantito una carriera da calciatore. Mentre il cervello mi avrebbe spalancato le porte per inseguire il sogno». Pablo Longoria, soprannominato «El Chico de la Play» agli albori della carriera per la passione e il consumo di Fifa e Football Manager, ha 38 anni, presidente dell’Olympique Marsiglia da quasi quattro, vice-presidente della Lega francese nonché membro dell’Eca. «Da quando ho tredici anni guardo partite di calcio, anche sei o sette al giorno. Il mio obiettivo era quello di diventare uno scout. A 16 anni ho mandato il primo curriculum al Psv Eindhoven, ma senza successo». Non ha dovuto però attendere molto prima di entrare nel mondo del calcio dalla porta principale. «A 18 anni avevo compreso che la mia passione poteva trasformarsi in un lavoro. Avevo tanta fiducia nelle mie capacità e sono stato fortunato a incontrare un agente, Eugenio Botas, che mi aiutò a lavorare con il Recreativo Huelva».

Diventare l'anti-Psg

L’ascesa del ragazzo di Oviedo che ha trascorso l’adolescenza fra paraboliche e videoregistratori è fulminea. «Prima di diventare guida dell’OM, ho lavorato in Spagna, Inghilterra e Italia. Ho cercato di assorbire ogni conoscenza per aumentare il mio patrimonio di informazioni». Pablo Longoria è a Roma per partecipare a un convegno sul calcio: parla sei lingue, ha dei baffi sottili decisamente inusuali, una padronanza della materia che stride con la carta di identità, un entusiasmo per il lavoro intatto. In genere ci si immagina la figura di «vecchio saggio» per il ruolo di presidente.  «Il Marsiglia ha una proprietà americana che crede alla leadership. Abbiamo per il club un progetto di rilancio su base triennale: l’obiettivo è diventare l’anti-Psg. Intanto siamo l’unica squadra francese ad aver vinto la Coppa dei campioni».

Atalanta, Sassuolo, Juve: «Da voi ho imparato tutto»

Per consentire all’OM di tornare agli antichi splendori («ma non possiamo paragonarci all’epoca di Tapie: rispetto ad allora è cambiato il mondo») ha fatto tesoro dei percorsi professionali italiani. «All’Atalanta ho imparato una metodologia di scouting. Nel Sassuolo i rapporti umani hanno rappresentato l’aspetto migliore. E la Juventus è stata l’università: quella Juve, intesa come assetto societario, era una macchina da guerra. A Fabio Paratici devo la vita, Andrea Agnelli era per tutti il modello da seguire». Magari non per tutto. Per tornare in Champions League ha strappato alla concorrenza di mezza Europa, dal Manchester United al Borussia Dortmund, l’allenatore considerato l’erede di Pep Guardiola.«Erano i giorni in cui ero alla ricerca di un tecnico. Un amico mi chiama e mi dà la soffiata: “La prossima settimana De Zerbi si dimette dal Brighton. Non usare l’informazione”. Metto giù e telefono a Edo Crnjar, agente di Roberto, e gli dico: “So che è impossibile ma ci provo”». D’accordo, ma come lo ha convinto? «Con trasparenza, passione e con il progetto. Roberto ha seguito il suo cuore, credo che l’entusiasmo di una città e di una tifoseria come quella del Marsiglia, 49 mila abbonati, abbiano inciso». Come tutti i geni, avrà qualche mania eccentrica.
«Un giorno mi ha chiesto quale fosse il budget per acquistare una lavagna elettronica per spiegare gli schemi. Ho risposto che non c’erano problemi, convinto che avrebbe comprato un iPad. Mi sono ritrovato al campo di allenamento un maxi-schermo, come quelli che vengono adottati negli stadi».

Il colpo Rabiot: «Abbiamo convinto la mamma»

Longoria ha dato anche all’organigramma un’anima italiana, dal consigliere Fabrizio Ravanelli al ds Medhi Benatia fino a Giovanni Rossi, club manager. «E per aumentare l’impronta juventina è arrivato in estate Rabiot. Devo ammettere che il lavoro diplomatico di Benatia con Adrien e sua mamma è stato grandioso». In passato era stato Gattuso a sedersi sulla panchina dell’Olympique. «È arrivato in un momento difficile, ha speso tante energie per debellare certi atteggiamenti sbagliati nello spogliatoio. Alla fine era svuotato».

No alla Superlega

La Superlega è uno spettro da allontanare? «Sono per la meritocrazia. Ritengo che il sistema calcio possa essere migliorato ma con il contributo di tutte le parti in causa, al fine di trovare un punto di equilibrio fra la necessità di generare più introiti e quella di proteggere la qualità dello spettacolo». L’augurio per il calcio francese? «Che possa essere visto anche nel vostro Paese. Tutti gli stranieri che arrivano in Francia dicono che il livello della Ligue 1 è altissimo ma evidentemente siamo un campionato sottovalutato se i diritti tv non sono stati venduti in Italia. Eppure siamo fra i maggiori esportatori di giocatori in Europa».

Google Translate a écrit :

21 novembre 2024
Pablo Longoria, Marseille : « De Zerbi voulait un grand écran pour la tactique. Nous avons convaincu sa mère de prendre Rabiot"

Le président de l'Olympique de Marseille, 38 ans, ancien recruteur de l'Atalanta et manager de la Juventus : «J'ai tout appris de toi, je regarde 7 matchs par jour»

Quand j'étais petit, j'ai compris que mes jambes ne me garantiraient pas une carrière de footballeur. Alors que mon cerveau m'aurait ouvert les portes pour poursuivre le rêve." Pablo Longoria, surnommé "El Chico de la Play" au début de sa carrière pour sa passion et sa consommation de FIFA et de Football Manager, est âgé de 38 ans, président de l'Olympique de Marseille pendant près de quatre ans, vice-président de la Ligue française ainsi ainsi que membre de l'Eca. «Depuis que j'ai treize ans, je regarde des matchs de football, même six ou sept par jour. Mon objectif était de devenir scout. A 16 ans, j'ai envoyé mon premier CV au PSV Eindhoven, mais sans succès." Il n’a cependant pas eu à attendre longtemps avant d’entrer dans le monde du football par la grande porte. «À 18 ans, j'ai compris que ma passion pouvait se transformer en métier. J'avais tellement confiance en mes capacités et j'ai eu la chance de rencontrer un agent, Eugenio Botas, qui m'a aidé à travailler avec le Recreativo Huelva."

Devenir l'anti-PSG

L'ascension du garçon d'Oviedo qui a passé son adolescence parmi les antennes paraboliques et les magnétoscopes est fulgurante. «Avant de devenir leader de l'OM, ​​j'ai travaillé en Espagne, en Angleterre et en Italie. J'ai essayé d'absorber toutes les connaissances pour augmenter ma richesse d'informations. Pablo Longoria est à Rome pour participer à une conférence sur le football : il parle six langues, une fine moustache décidément inhabituelle, une maîtrise du sujet qui détonne avec sa carte d'identité, un enthousiasme intact pour le travail. Généralement, on imagine la figure d'un « vieux sage » pour le rôle de président. «Marseille a une propriété américaine qui croit au leadership. Nous avons un projet de relance du club sur trois ans : l'objectif est de devenir l'anti-PSG. En attendant, nous sommes la seule équipe française à avoir remporté la Coupe des Champions."

Atalanta, Sassuolo, Juve : «J'ai tout appris de toi»

Pour permettre à l'OM de retrouver ses splendeurs d'antan (« mais on ne peut pas se comparer à l'époque de Tapie : le monde a changé depuis »), il a profité des parcours professionnels italiens. «À Atalante, j'ai appris une méthodologie de scoutisme. A Sassuolo, les relations humaines étaient le meilleur aspect. Et la Juventus était l’université : la Juve, comprise comme une structure d’entreprise, était une machine de guerre. Je dois ma vie à Fabio Paratici, Andrea Agnelli était le modèle à suivre pour tout le monde." Peut-être pas pour tout. Pour revenir en Ligue des Champions, il a emmené l'entraîneur considéré comme l'héritier de Pep Guardiola loin des compétitions de la moitié de l'Europe, de Manchester United au Borussia Dortmund. «C'était l'époque où je cherchais un entraîneur. Un ami m'appelle et me donne le conseil : « De Zerbi démissionne de Brighton la semaine prochaine. N'utilisez pas ces informations." Je pose et téléphone à Edo Crnjar, l'agent de Roberto, et je lui dis : "Je sais que c'est impossible mais je vais essayer"". D'accord, mais comment l'as-tu convaincu ? «Avec transparence, passion et avec le projet. Roberto a suivi son cœur, je crois que l'enthousiasme d'une ville et d'un public comme celui de Marseille, 49 000 abonnés, a eu un impact." Comme tous les génies, il aura quelques bizarreries excentriques.
«Un jour, il m'a demandé quel était le budget pour acheter un tableau électronique pour expliquer les motifs. J'ai répondu qu'il n'y avait aucun problème, convaincu qu'il achèterait un iPad. Je me suis retrouvé sur le terrain d'entraînement avec un écran géant, comme ceux utilisés dans les stades."

Le coup de Rabiot : «On a convaincu maman»

Longoria a également donné une âme italienne à l'organigramme, du conseiller Fabrizio Ravanelli au directeur sportif Medhi Benatia jusqu'à Giovanni Rossi, manager du club. «Et pour augmenter l'empreinte de la Juventus, Rabiot est arrivé cet été. Je dois admettre que le travail diplomatique de Benatia avec Adrien et sa mère a été formidable." Dans le passé, c'était Gattuso qui siégeait sur le banc de l'Olympique. «Il est arrivé dans un moment difficile, il a dépensé beaucoup d'énergie pour éradiquer certaines mauvaises attitudes dans le vestiaire. Finalement, il a été vidé. »

Non à la Super Ligue

La Super League est-elle un spectre à bannir ? «Je suis pour la méritocratie. Je crois que le système du football peut être amélioré, mais avec la contribution de toutes les parties impliquées, afin de trouver un équilibre entre la nécessité de générer plus de revenus et celle de protéger la qualité du divertissement." Votre souhait pour le football français ? « Puisse-t-on le voir aussi dans votre pays. Tous les étrangers qui arrivent en France disent que le niveau de la Ligue 1 est très élevé mais évidemment on est un championnat sous-évalué si les droits TV n'ont pas été vendus en Italie. Pourtant, nous sommes parmi les principaux exportateurs d’acteurs en Europe. »