OM

Pytheas83bm a écrit :

cesare maldini a écrit :

Matt Le God a écrit :

Mido…
C’est vrai qu’arriver en tant que joueur star et en fait y a des phénomènes qui sont recrutés en même temps que toi en catimini…
Le contexte lui aura été défavorable.
Mais le gars aurait du être conscient, comme Zlatan, que son atout était autant physique que technique. Et si tu t’entretiens pas…

Un peu trop tête de cochon l’asticot . Pour ça qu’on l’a exfiltré au plus vite

Un adepte de La Maronnaise

ahhhhh...
la marronaise...

Vous pouvez nous éclairer SVP ? Nous on voit seulement une très jolie plage et un restau qui a l'air pas mal, keski se passe (passait ?) là-bas ?

Ruud Devils a écrit :

Pour Olembe, gros doute sur sa naissance en 1980, quand même.

TRÈS GROS doute même. Il éclot à 17 ans mais est boulli à 25, c'est quand même pas commun.
Le regretté Mbami a un peu eu la même trajectoire par ailleurs.

Et Wilson Oruma ?

Pytheas83bm a écrit :

babar a écrit :

Pytheas83bm a écrit :

ahhhhh...
la marronaise...

Vous pouvez nous éclairer SVP ? Nous on voit seulement une très jolie plage et un restau qui a l'air pas mal, keski se passe (passait ?) là-bas ?

la maronaise c'est une crique entre les goudes et le cap croisette ou se situait un restau qui faisait discothèque à ciel ouvert, j'y ai passé des belles soirées.
je crois que ça a été détruit depuis car c'était une construction illégale.
je te parle de ça c'était début des années 2000.

Merci de cet éclaircissement.

La Maronnaise ... 😁

Un nom qu'on retient. 🙂

MJ13 a écrit :

Matt Le God a écrit :

Ah! Salomon Olembe.
Syndrome nantais. Incapable d’exprimer les principes fluides du fcna de l’époque à un autre club.
Forcément y a ça qui se joue. À Nantes c’était un joueur très mobile, très dynamique. Polyvalent.
Mais dans la bouillie marseillaise il avait pas de repère pour faire valoir ses répétitions de courses.

Aussi, son âge réel était certainement pas celui annoncé, un classique de l’époque (encore partiellement en vigueur). Il était pas assez fort pour être capable de se passer de son volume de course. Il a sombré

Par rapport à un nantais passé pas l'OM en cette période, un peu avant certes qu'Olembe, et qui ne s'est pas imposé chez nous, m'est aussi venu l'immense interrogation Claude Makelele ... !

Et là, à propos d'un joueur qui aurait pu faire l'objet de cette chronique de "L'Ex-Olympien du Jour", il y a de quoi avoir une sensation de vertige !

Comment, un milieu défensif champion de France 95 avec le grand Nantes et qui allait devenir l'une des meilleures sentinelles de l'Histoire a t'il bien pu se retrouver à jouer milieu droit (dans mes souvenirs) sous nos couleurs ???

Vous allez me répondre à une forme d'incompétence de ce filou de Courbis.

Je m'éloigne du cas Olembé, mais que Makelele soit passé chez nous comme un éclair, presque 30 ans après, j'ai encore du mal à m'en remettre.

En fait par capillarité, évoquer le passage d'un ex-olympien chez nous me fait ensuite penser à un autre.

On verra où ça me mène ! 🙂

Je sais pas ou ca va te mener mais il me semble avoir entendu que Makelele n'était pas gaté que par les dieux du football  Il était limite à se la scotcher sur le genou pour jouer tranquille, je peux confondre mais je crois pas. Il y avait même eu une histoire avec la fille de l'entraineur, mais cela ne nous regarde pas puisque ce n'était pas à l'OM 

babar a écrit :

MJ13 a écrit :

Matt Le God a écrit :

Ah! Salomon Olembe.
Syndrome nantais. Incapable d’exprimer les principes fluides du fcna de l’époque à un autre club.
Forcément y a ça qui se joue. À Nantes c’était un joueur très mobile, très dynamique. Polyvalent.
Mais dans la bouillie marseillaise il avait pas de repère pour faire valoir ses répétitions de courses.

Aussi, son âge réel était certainement pas celui annoncé, un classique de l’époque (encore partiellement en vigueur). Il était pas assez fort pour être capable de se passer de son volume de course. Il a sombré

Par rapport à un nantais passé pas l'OM en cette période, un peu avant certes qu'Olembe, et qui ne s'est pas imposé chez nous, m'est aussi venu l'immense interrogation Claude Makelele ... !

Et là, à propos d'un joueur qui aurait pu faire l'objet de cette chronique de "L'Ex-Olympien du Jour", il y a de quoi avoir une sensation de vertige !

Comment, un milieu défensif champion de France 95 avec le grand Nantes et qui allait devenir l'une des meilleures sentinelles de l'Histoire a t'il bien pu se retrouver à jouer milieu droit (dans mes souvenirs) sous nos couleurs ???

Vous allez me répondre à une forme d'incompétence de ce filou de Courbis.

Je m'éloigne du cas Olembé, mais que Makelele soit passé chez nous comme un éclair, presque 30 ans après, j'ai encore du mal à m'en remettre.

En fait par capillarité, évoquer le passage d'un ex-olympien chez nous me fait ensuite penser à un autre.

On verra où ça me mène ! 🙂

Je sais pas ou ca va te mener mais il me semble avoir entendu que Makelele n'était pas gaté que par les dieux du football  Il était limite à se la scotcher sur le genou pour jouer tranquille, je peux confondre mais je crois pas. Il y avait même eu une histoire avec la fille de l'entraineur, mais cela ne nous regarde pas puisque ce n'était pas à l'OM 

Merci Babar, autant je connaissais pas la Maronaise, autant les attributs de ce cher Claude sont légendaires. 🙂

Ça me fait penser que Makelele, vu ses mensurations supposées, ça en ferait une belle de Marronaise à quelqu'un s'il venait à le "tacler" par derrière ! 😁

Dernière modification par MJ13 (13-Oct-25 17:57)

Pytheas83bm a écrit :

babar a écrit :

Pytheas83bm a écrit :

ahhhhh...
la marronaise...

Vous pouvez nous éclairer SVP ? Nous on voit seulement une très jolie plage et un restau qui a l'air pas mal, keski se passe (passait ?) là-bas ?

la maronaise c'est une crique entre les goudes et le cap croisette ou se situait un restau qui faisait discothèque à ciel ouvert, j'y ai passé des belles soirées.
je crois que ça a été détruit depuis car c'était une construction illégale.
je te parle de ça c'était début des années 2000.

Avec des amis ,une ou deux fois par mois ,nous allions dans un restaurant à la Vieille Chapelle ( disparu depuis) qui faisait des spaghetti allé vongole exceptionnels et reguliement a coté de nous qui il y avait? Mido.Et en quittant le restaurant on allait à la Marronaise boire un verre et qui il y avait en terrasse?

babar a écrit :

MJ13 a écrit :

Ruud Devils a écrit :

Pour Olembe, gros doute sur sa naissance en 1980, quand même.

TRÈS GROS doute même. Il éclot à 17 ans mais est boulli à 25, c'est quand même pas commun.
Le regretté Mbami a un peu eu la même trajectoire par ailleurs.

Je savais pas ça par contre que son âge était sujet à caution.
Merci pour l'info. 🙂

https://www.alamyimages.fr/football-cou … archtype=0
La il vient de fêter ses 23 ans 
C'est comme Kondogbia qui a 32 ans mais il parait que c'est hors-taxes 
En effet le mec est taillé comme un crayon HB, on peut se moquer de nos scouts actuels

Kondogbia est né en France, il a bien 32 ans.

MJ13 a écrit :

Matt Le God a écrit :

Ah! Salomon Olembe.
Syndrome nantais. Incapable d’exprimer les principes fluides du fcna de l’époque à un autre club.
Forcément y a ça qui se joue. À Nantes c’était un joueur très mobile, très dynamique. Polyvalent.
Mais dans la bouillie marseillaise il avait pas de repère pour faire valoir ses répétitions de courses.

Aussi, son âge réel était certainement pas celui annoncé, un classique de l’époque (encore partiellement en vigueur). Il était pas assez fort pour être capable de se passer de son volume de course. Il a sombré

Par rapport à un nantais passé pas l'OM en cette période, un peu avant certes qu'Olembe, et qui ne s'est pas imposé chez nous, m'est aussi venu l'immense interrogation Claude Makelele ... !

Et là, à propos d'un joueur qui aurait pu faire l'objet de cette chronique de "L'Ex-Olympien du Jour", il y a de quoi avoir une sensation de vertige !

Comment, un milieu défensif champion de France 95 avec le grand Nantes et qui allait devenir l'une des meilleures sentinelles de l'Histoire a t'il bien pu se retrouver à jouer milieu droit (dans mes souvenirs) sous nos couleurs ???

Vous allez me répondre à une forme d'incompétence de ce filou de Courbis.

Je m'éloigne du cas Olembé, mais que Makelele soit passé chez nous comme un éclair, presque 30 ans après, j'ai encore du mal à m'en remettre.

En fait par capillarité, évoquer le passage d'un ex-olympien chez nous me fait ensuite penser à un autre.

On verra où ça me mène ! 🙂

Hmm… makelele jouait souvent à droite à Nantes, me semble-t-il. En tout cas ça me surprenait pas de le voir à ce poste à l’OM.
Mais oui, on a clairement loupé un truc

Matt Le God a écrit :

MJ13 a écrit :

Matt Le God a écrit :

Ah! Salomon Olembe.
Syndrome nantais. Incapable d’exprimer les principes fluides du fcna de l’époque à un autre club.
Forcément y a ça qui se joue. À Nantes c’était un joueur très mobile, très dynamique. Polyvalent.
Mais dans la bouillie marseillaise il avait pas de repère pour faire valoir ses répétitions de courses.

Aussi, son âge réel était certainement pas celui annoncé, un classique de l’époque (encore partiellement en vigueur). Il était pas assez fort pour être capable de se passer de son volume de course. Il a sombré

Par rapport à un nantais passé pas l'OM en cette période, un peu avant certes qu'Olembe, et qui ne s'est pas imposé chez nous, m'est aussi venu l'immense interrogation Claude Makelele ... !

Et là, à propos d'un joueur qui aurait pu faire l'objet de cette chronique de "L'Ex-Olympien du Jour", il y a de quoi avoir une sensation de vertige !

Comment, un milieu défensif champion de France 95 avec le grand Nantes et qui allait devenir l'une des meilleures sentinelles de l'Histoire a t'il bien pu se retrouver à jouer milieu droit (dans mes souvenirs) sous nos couleurs ???

Vous allez me répondre à une forme d'incompétence de ce filou de Courbis.

Je m'éloigne du cas Olembé, mais que Makelele soit passé chez nous comme un éclair, presque 30 ans après, j'ai encore du mal à m'en remettre.

En fait par capillarité, évoquer le passage d'un ex-olympien chez nous me fait ensuite penser à un autre.

On verra où ça me mène ! 🙂

Hmm… makelele jouait souvent à droite à Nantes, me semble-t-il. En tout cas ça me surprenait pas de le voir à ce poste à l’OM.
Mais oui, on a clairement loupé un truc

Le Celta Vigo, pour le mettre en milieu central, c'étaient donc des génies en terme de repositionnement tactique il faut croire donc, meilleurs que ceux de Nantes et l'OM ...

Dernière modification par MJ13 (14-Oct-25 13:16)

En supplément je vous offre l'article du torchon en rapport avec cet épisode ! 🙂

"GEORGE WEAH À L'OM, UNE SAISON QUI A MARQUÉ LES ESPRITS."

Un Ballon d'Or pour essayer de corriger une saison largement plombée. En cette mi-octobre 2000, George Weah, pas encore président mais déjà « King George » en référence au Roi Pelé, débarque au sein d'un club phocéen dont le classement en D1 (14e) luit bien moins que le prestigieux trophée acquis en 1995. À l'époque, son fils Timothy - qui va s'engager avec le club marseillais - a huit mois à peine, même pas l'âge de regarder le glorieux paternel sceller, à 34 ans, une carrière gonflée de titres et récompenses individuelles.

Vingt-quatre heures après son départ de Manchester City, voilà donc le héros libérien plongé dans une ferveur marseillaise jamais éloignée du tumulte. Les articles d'époque évoquent un prompt démarchage effectué par Marcel Dib, directeur sportif et, surtout, très estimé ancien coéquipier monégasque.

Weah lui-même raconte dans un numéro de France Football de janvier 2025 un appel à l'aide reçu pour secourir une équipe en difficulté. « C'est lui qui m'a contacté, relate à l'inverse Dib, licencié en novembre 2000. Il m'a dit : ''Je sais que vous cherchez un attaquant. Comme la première fois je devais signer et que ça s'est mal passé, je viens.'' Il se sentait un peu redevable. Un an plus tôt (janvier 2000), il m'avait donné sa parole pour venir de l'AC Milan, mais au dernier moment il avait rejoint Chelsea. Les résultats étaient mauvais et quelques supporters étaient montés à la Commanderie. Alors, il avait fait marche arrière. »

En cet automne 2000, en revanche, le levier de vitesse est configuré en mode marche avant, tandis que son enthousiasme donne des coups de klaxon. « C'était un mec super positif, joyeux et qui communiquait beaucoup d'envie, se souvient l'ancien gardien Stéphane Trévisan. Tu sentais qu'il avait connu des choses vraiment au-dessus mais il s'est mis dans une forme de simplicité pour amener son expérience et essayer de tirer tout le monde vers le haut. En plus, il était vraiment abordable, humble. »

Des vertus aussi relevées par Dib à l'instant de dresser sur le plan humain un état des lieux excluant tout ego surdimensionné. « Une personne très, très simple, poursuit l'ex-milieu international. Mais aussi un leader, un grand frère, qui avait toujours les mots pour calmer les choses dans le vestiaire alors qu'on était en pleine turbulence à son arrivée. » L'agitation ne se calme qu'en fin de saison, avec une quinzième place terminale très distante des standards locaux et trop proche de la ligne rouge.

À ce moment-là, Mister George sait déjà depuis un bon moment que la saison supplémentaire qu'on lui avait promise ne serait qu'un mirage avant le désert, puisqu'il ralliera Al-Jazira, aux Émirats arabes unis. Une déception qui ne l'empêchera pas de revenir célébrer son jubilé au Vélodrome, en juin 2005, malgré l'étroitesse de son passage : huit mois, quasiment au terminus d'une carrière tracée sur les chemins du très haut niveau.

« C'était un grand monsieur. Il n'avait plus rien à prouver, était plus dans un rôle d'accompagnateur, raconte Stéphane Saliu, longtemps intendant. C'était no stress, il n'avait pas de pression. Parfois, il me disait : ''Ce soir c'est grand, fais-moi préparer les chaussures rouges.'' Ça voulait dire : ''Je me sens bien''. Il était déterminé à faire un gros match, même s'il ne marquait pas à chaque fois. »

Ses statistiques, en effet, ne témoignent pas d'une voracité hors-norme, ni d'un festin de roi : 5 réalisations, dont un doublé face à Monaco, assortis de 2 passes décisives en 19 rencontres de Championnat. « Je me souviens d'un sacré joueur quand même, juge Trévisan. Il prenait de la place, mobilisait les adversaires, ce qui pouvait laisser de la place pour les autres et les rendre plus forts. Il avait moins la vitesse et la puissance, mais avait gardé sa qualité technique et son intelligence dans les déplacements. Et, dos au but, je le trouvais monstrueux. Il avait de la présence et, devant les cages, de la tête, je n'en parle même pas ! » Une forte tête dans laquelle les souvenirs ont du remuer lors de la signature, cette année, de son fils Thimothy.

😉